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Mon web à moi, ma vie... Mes envies, mes amours, mes humeurs, mes emmerdes et vous !

28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 15:38
affiche-parti-socialiste-italien-et-les-homos.jpg  Il n'y a pas qu'en France que l'on vote dans les semaines à venir. Bien sûr, vous allez me dire que l'enjeu du scrutin n'est pas le même. Eux vont élire leurs députés, nous allons voter pour choisir nos conseils minicipaux et quelques conseillers généraux. Bref, des élections nationales en Italie, et locales chez nous... Mais, tout de même, ce n'est pas ici qu'un parti politique oserait cette affiche "Je suis gay et je suis en colère".
 Le Parti Socialiste italien, lui, l'a fait ! Pour les législatives du mois d'avril, en espérant fêter dignement (par la victoire !) 100 ans de lutte pour le travail, la justice sociale et les droits de tous. Homosexuel(le)s compris.
 "...Regardez-moi : je ne vous semble pas être le fils d'un sous-Dieu ? Aucun droit, aucune reconnaissance. Je dérange leurs consciences. Mais je ne veux pas plus me cacher."


PS Peut-on espérer qu'un jour, hors associations engagées dans la lutte contre les discriminations, un parti politique français affiche de cette manière son combat pour l'égalité des droits de tous, LGBT compris ?

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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 22:58
...de Virgin 17 ! En version originale c'est "Shipwrecked" sur Channel 4 outre-Manche. Un programme de Real-TV à voir et à revoir en multi-diffusions, plusieurs épisodes étant visibles en décalé chaque semaine... 2 tribus vivent sur 2 îles (ilots !) désertes de l'archipel des Îles Cook au milieu du Pacifique. Chaque semaine un(e) nouvel(le) arrivant(e) doit intégrer la tribu de son choix après avoir accompli des épreuves durant 3 jours au sein de l'une puis 3 jours avec l'autre... Ce mercredi soir c'était le suspence et l'apothéose dans le feuilleton gay-friendly réunissant plusieurs participants : Rory Nugent (photo du milieu ci-dessous), Irlandais de 23 ans, nouvel arrivant du jour, déclare dès le premier soir sur l'île des Tigres qu'il est sorti avec des filles et... avec des garçons ! Un bisexuel qui à peine débarqué sur la plage ne laisse pas indifférent Chris Baddoo, 18 ans, l'autre Tigre ouvertement bisexuel (photo de droite)... Après 3 jours sur Tiger Island, Rory traverse le chenal et se retrouve sur l'île des Requins, où le gaydar de James Budie (photo de gauche) s'active immédiatement. Ce dernier, 20 ans, est steward et gay (un pléonasme, non ?) et a, de suite, deviné la "part d'homosexualité" de Rory, même si après 24 heures ensemble il estime qu'en fait le jeune Irlandais de Dublin n'est pas gay à 80% mais à 40 ou 50% seulement... Au moment de choisir l'île sur laquelle il va passer le reste de l'aventure Rory hésite et choisit finalement le camp des Tigres, emmené par son ami Chris Baddoo, au détriment des Requins et de James Budie, lequel malgré un "rentre-dedans" trés visible n'a pas su convaincre le nouvel arrivé... La suite de cette drague à 3, de la romance à 2 ? Elle est à vivre, chaque semaine, sur Virgin 17.

shipwrecked_james_mudie.jpg  shipwrecked_rory_nugent.jpg  shipwrecked_chris_baddoo.jpg

NB. En cliquant sur les photos vous pourrez découvrir les profils des 3 protagonistes.
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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 09:13
  C'est le Gay Vitrollais Libertaire qui nous rappelle aujourd'hui une info passée (comme bien d'autres) quasiment inaperçue, tant les news papier, radio ou TV sont saturés des petites affaires de notre Omni-Président et autres soucis (légitimes) des Français. France Info en avait fait l'un de ses titres le week-end dernier...
 "Festigays et Tapages, associations homos de Strasbourg, ainsi que la Ligue des droits de l'homme, se mobilisent pour éviter que Louka Koutateladze, un homosexuel de 23 ans, soit expulsé vers la Géorgie. Louka a en effet été arrêté à son domicile de Lure (Haute-Saône) le 19 février pour être emmené au centre de rétention administrative de Geispolsheim (Bas-Rhin), et il devrait être présenté jeudi prochain au consulat de Géorgie à Paris, dont la préfecture sollicite un laissez-passer afin de pouvoir l'explulser vers son pays d'origine.
Louka Koutateladze dit avoir fui la Géorgie à la suite d'agressions physiques et de harcèlement par les forces de l'ordre, en raison de son homosexualité. Son témoignage est corroboré par un rapport de l'International  Lesbian and Gay Association (Ilga). Il a trouvé refuge en France en juillet 2006 mais n'a pu obtenir de papiers et il a été débouté de son recours auprès du tribunal administratif de Besançon (Doubs). Son retour en Géorgie constituerait une menace grave sur sa vie.
Les associations appellent à envoyer au préfet de Haute-Saône, François Lamy, par mail ou par fax, un message afin de lui demander qu'il délivre à Louka une autorisation de séjour sur le territoire français."
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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 08:57
logo-la-melee-alpine.jpg  Source : Rue89.com. La tendance "gay friendly" du rugby français se confirme. Figure de proue, le Stade français, ses innovations vestimentaires (du rose, des fleurs) et son incontournable, calendrier de joueurs nus, posant dans des positions équivoques. Mais des équipes de joueurs homos se sont aussi formées, comme la Mêlée alpine à Grenoble. La ville n'a pas d'équipe dans l’élite du Top 14. Il y a bien une tradition rugbystique, et un club historique en Pro D2, le FCG. Et puis il y a la Mêlée alpine. Un club comme un autre, avec un effectif, un maillot bleu... et une orientation sexuelle assumée: quatorze des quinze joueurs que compte l’équipe sont homosexuels.
Christophe Solignac, entraîneur-joueur, a créé le club en 2004. Il a eu l’idée en lisant un article dans le magazine Têtu, consacré au club parisien Les Gaillards, à l’époque unique exemple d’équipe gay en France (on en compte aujourd'hui six).
"J’ai participé à des forums de discussions avec les créateurs du club, et puis le recrutement s’est fait sur Internet, sur des sites de rencontres pour homosexuels."
Petit à petit, l’effectif grossit, alimenté par des passionnés de la région. "A l’origine, il y avait avant tout le plaisir personnel", souligne-t-il. Le fondateur revendique une enfance baignée dans le rugby; chez lui, la passion prend le pas sur le militantisme gay. Le club n'organise pas d'actions spécifiques de défense des droits des homosexuels. Leur seule revendication: prouver que les gays aussi peuvent jouer au rugby.
Le site Internet du club par exemple, affiche sans ambages la réalité: "La Mêlée alpine, l’équipe gay de rugby de Grenoble." S’il n’est pas obligatoire d’être homosexuel pour intégrer l’équipe (qui n'appartient pas à une ligue affiliée à la Fédération française de rugby), autant dire qu’il vaut quand même mieux être à l’aise avec le sujet.
En se fiant aux clichés circulant sur le sexisme des joueurs de rugby, on imagine les difficultés d’intégration de la Mêlée alpine. Et pourtant: "Notre expérience a toujours été positive", affirme Christophe Solignac, "le rugby est un peu comme une grande famille".
Dans l’élite du rugby français, aucun joueur n’a jamais publiquement affirmé son homosexualité. Le sujet est même souvent prétexte à des blagues, de plus ou moins bon goût, dans les vestiaires (le fameux "coup de la savonnette", par exemple).
Lorsqu’on lui parle des propos lestes que tiennent parfois les joueurs de rugby à l'endroit des homosexuels, Christophe Solignac ne cille pas. "Evidemment, je ne veux pas généraliser, car je sais que certains ont eu des problèmes sur les terrains de rugby."
Les membres de l'équipe qui jouaient dans des clubs "traditionnels" auparavant expliquent volontiers qu'ils n'y subissaient pas de brimades ou de discriminations particulières. Rejoindre la Mêlée alpine leur a cependant permis d'afficher ouvertement leur homosexualité sur le terrain. A Grenoble, où ils affrontent le plus souvent des équipes "hétéros", il n’y a jamais eu de débordements ou d’insultes homophobes. Il ya peu, les joueurs rencontraient leurs homologues parisiens des Coqs Festifs et lyonnais des Rebelyons, pour une journée de rencontres amicales. Le spectateur moyen peut sourire en entendant certaines phrases, comme ce "on pousse, on n’est pas des tapettes!", qui prend forcément un sens particulier dans le contexte.
Au programme de la journée: apéro, matchs et troisième mi-temps dans un bar du centre-ville. Rien que de très banal, finalement. Et c’est sûrement la plus grande victoire de la Mêlée alpine.
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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 00:20

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23 février 2008 6 23 /02 /février /2008 23:36
  Je n'ai jamais été un champion du grimper à la corde. Alors, pour en arriver à concurrencer ceux-là il faudrait que je me remette au sport, et pas à raison d'une heure ou deux par semaine... Je n'ai pas encore plus cette musculature (sèche)... Bon, j'arrête de vous parler de moi et je vous laisse regarder, ça se passe à Prague. Oui, les Tchèques organisent des concours de grimper à la corde... Doués les gars !...

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23 février 2008 6 23 /02 /février /2008 08:38
affiche-garcon-sportif-oui-victime-non.png  C'est l'accroche d'une nouvelle campagne d'information et de prévention lancée par le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des sports, qui trouve son origine dans une étude récente montrant que près d'un tiers des jeunes sportifs français entre 13 et 23 ans affirment avoir été confrontés à une forme de harcèlement ou de violences sexuelles...  Ce, quelque soit le sport pratiqué, quelque soit le sexe de la victime et de l'agresseur. S'il apparait que les filles (et jeunes femmes) sont les principales victimes des viols, attouchements et atteintes physiques à la personne, il semble que les garçons (et jeunes hommes) sont eux  majoritairement victimes de harcèlement moral (paroles, brimades, voyeurisme, exhibitionnisme). Et contrairement à une idée très répandue, ce n'est pas l'entraîneur (ou l'autorité) qui est l'accusé principal mais le(s) partenaire(s), le coéquipier, un autre sportif... Cette même enquête a révèlé une forme de culpabilité ou d'auto-accusation de la victime qui explique le silence observé depuis longtemps au sujet de ce type d'agression en milieu sportif. Un tabou à rapprocher de celui connu avec la pédophilie. Mais il faut cependant éviter tout amalgame entre les deux phénomènes... Un numéro vert a été mis en place, le 08.842.84.637 (08.VICTIMES), ainsi qu'une charte de bonne conduite invitant les fédérations sportives à appliquer quelques recommandations simples, telles que la non-mixité des vestiaires, l'interdiction des conversations sur les orientations sexuelles des jeunes sportifs et la séparation entre les lieux de vie athlètes et encadrants... Nul doute que les associations "gay-friendly", de prévention et de lutte contre l'homophobie vont apporter leurs soutiens à cette campagne d'information, le jeune gay étant trop souvent le "jouet" de ses coéquipiers de vestiaire, de ses adversaires de terrain...
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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 22:36
  Cyril, dit Mouse[54], (je mets les "brackets" où je veux !), m'a lancé le défi des 6 confidences inutiles, un truc qui tourne de blog en blog en ce moment depuis un certain temps et revient régulièrement par ici. Y'a rien de plus c... mais puisque c'est demandé gentillement (lol !) et que je suis courtois je ne vais pas l'envoyer sur les roses !...
 Comment jouer : d'abord mettre un lien vers la personne qui vous tague (allez voir ci-dessus !), puis rappeler le réglement (c'est ce que je suis entrain de faire, non ?), déclamer 6 anecdotes ou habitudes, genre tics, sans importance vous concernant. Et taguer 6 personnes, blogs, que vous ne manquerez pas d'avertir. Comment ? Cela n'est pas précisé. A vous de voir...
1/ Au taf, relève ou pas, je ne peux pas commencer à bosser si je n'ai pas remis en ordre mon (notre) pupitre de travail... Tout le contraire de la maison !  :-(
2/ Je m'endors et je me réveille avec France Info... Oui, je sais, avec un bôgosse ça serait mieux...
3/ Chez moi je surfe sur le Net en étant assis par terre, en tailleur, mon PC portable posé sur ma table basse du salon. Il n'y a que comme ça que je suis bien devant mon écran. N'essayez pas de me faire tapoter mon clavier en étant assis à la table du séjour ou sur mon lit, ça me gonfle !
4/ Version papier ou Internet, chaque jour je prends du temps pour lire la presse nationale et la PQR.
5/ On me surnomme Alloun (certains le savent déjà), tout ça à cause d'un collègue qui a fait un jeu de mot le jour du décès... d'Haroun Tazieff.
6/ N'étant pas accro du téléphone, j'ai un mobile dont je n'use jamais entièrement le forfait et pour lequel il m'arrive de lire les SMS et mails reçus avec plusieurs jours de retard...
  C'est assez comme dirait la baleine, ça suffit, vous en savez assez. Maintenant je passe la main à Piel, Phoenix, Faerithil, Arno, BoSauvage et Christian.
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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 20:21
eclipse-totale-rimbaud-verlaine.jpg  Depuis mes années lycée (Oui, je sais, c'était il y a déjà bien longtemps !) j'ai une passion pour Arthur Rimbaud. Je ne vous cacherai pas qu'il m'arrive de me replonger régulièrement dans les "Oeuvres complètes, correspondance" édité par Robert Laffont (dans la série Bouquins), tout comme je rouvre de temps à autre le sublime Télérama hors-série "Rimbaud, trafiquant d'âmes" publié en novembre 2004, à l'occasion du 150ème anniversaire de la naissance du poète...
 J'ai, aujourd'hui, vu le film "Eclipse totale" qui évoque la liaison tumultueuse entre Paul Verlaine, lequel étouffe auprès de sa femme Mathilde, et le jeune Arthur Rimbaud, qui lui désespère d'être aimé... Bien sûr tout n'est pas parfait dans cette reconstitution historique et biographique. Mais j'en retiens qu'il s'agit d'un film intéressant et rare... Je n'ai pas eu la possibilité de le voir lorsqu'il est sorti sur les écrans français en 1997, je n'ai pas plus eu l'occasion de le voir s'il a été télévisé (?)... J'ai acheté le DVD et j'en suis heureux !

PS, à noter que dans ce film Leonardo Di Caprio n'est pas doublé par l'acteur habituel mais par Tara Romer choisi après un long casting voulu par Agnieszka Holland qui souhaitait une voix juvénile, neuve. Pour ceux qui s'en souviennent, Tara Romer, c'est le fils Le Quesnoy, élévé par les Groseille dans le film "La vie est un long fleuve tranquille"... Une "gueule" du cinéma français, au début de carrière prometteur, malheureusement décédé trop tôt en 1999.

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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 19:21
gasquet-et-tsonga.jpg  Il y a 2 semaines Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet remportaient en Roumanie leurs matchs de Coupe Davis permettant ainsi à l'Equipe de France de tennis d'accéder au quart de finale de la compétition. Le soir, pour fêter l'évènement, les 2 sportifs se retrouvaient dans une boîte à gogos danseuses et n'hésitaient à tomber la chemise dans une ambiance torride... Les images, photos et vidéos de la soirée, visibles ont fait le tour du Net en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire l'écrire. Je ne vous donnerai pas de liens pour les (re)voir.  Il vous suffit de taper les 2 noms des joueurs (+ Coupe Davis) sur un moteur de recherche pour aboutir aux images voulues, représentant simplement ce qu'une majorité (?) de jeunes fait chaque week-end en soirée dans les boîtes de nuit de France et de Navarre : danser torse nu, si possible debout sur un podium. Concernant Jo-Wilfried et Richard, il n'y a rien d'indécent dans ce qui nous est permis de voir... Pourtant, par l'intermédiaire de leur conseil, avocat commun, Tsonga et Gasquet ont lancé une procédure en vue d'interdire la diffusion de toute image les montrant au cours de cette soirée, que l'on peut juste supposer avoir été bien arrosée... Pourquoi ? Parce que les photos et autres vidéos porteraient gravement atteinte à l'intimité de la vie privée des 2 tennismens. C'est à lire ici. Difficile de croire que faire la fête dans un lieu public, comme ils l'ont fait là, puisse nuire à leur réputation de garçons sages et timides (?), surtout lorsque l'on sait qu'un des deux essaie depuis plusieurs semaines de faire taire une folle rumeur qui va à l'opposé de ses faits et gestes vus au cours de cette "soirée dansante" !
 On ne peut que leur donner un conseil : en cas de victoire contre l'équipe américaine lors du prochain tour de Coupe Davis, qu'ils pensent à rester dans leurs chambres d'hôtel pour fêter l'évènement, en toute intimité, loin de tout appareil photo ou caméra, en évitant également d'inviter des gogos danseuses dont on sait qu'elles aiment à raconter à la presse les exploits extra-sportifs de leurs "clients" ! Vous n'avez qu'à demander aux footballeurs professionnels de Manchester United ce qu'ils en pensent...
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