"Un aristocrate britannique excentrique a mis en garde les visiteurs à l'entrée de sa propriété: un paon en rut
a agressé sexuellement une voiture bleue, sans doute confondue avec un congénère, lui infligeant d'importants dégâts matériels. Sir Benjamin Slade a mis une pancarte à l'entrée du parking de Mansel House, sa propriété de 520 hectares dans le Somerset (ouest) où
la Lexus "bleu paon" d'un de ses employés a subi les assauts vigoureux de l'oiseau. Montant des dégâts, rayures et bosses: 4.000 livres (environ 6.400 euros), pour lesquels Sir Benjamin tente
d'obtenir un remboursement des assureurs. "Tout a commencé quand il est
tombé amoureux de cette Lexus, d'un bleu caractéristique des paons et qui ressemblait donc à un autre paon garçon", a expliqué l'aristocrate. "Il ne pouvait contrôler ses pulsions alors il a
essayé de la monter: il s'est attaqué aux ailes avec une telle vigueur qu'il faut repeindre tout un côté". Bien sûr, "les
assureurs ne sont pas très contents", reconnaît-il. "Ils ont eu des plaintes de toutes sortes, par exemple des lions qui mordent des gens, mais ils n'avaient jamais entendu parler d'un paon qui
agresse sexuellement une voiture", relève Sir Benjamin. Le propriétaire du domaine de Mansel House trouve tout de même quelques circonstances atténuantes au paon
amoureux. "Il est très frustré, il se
sent un peu seul et il voudrait bien jouer au docteur avec les autres paons mâles, mais ça ne les intéresse pas. Les femelles sont brunes, mais il est seulement attiré par les voitures bleues,
donc j'en conclus qu'il est gay". Sir Benjamin avait déjà fait parler de lui lorsqu'il avait proposé que son chien, "gay" également, selon lui, puisse servir de "témoin" lors de mariages
homosexuels célébrés dans sa propriété. Le chien en question, Jasper, a été doté par son maître d'un "fonds" de 150.000 livres (environ 220.000 euros) qui fait de lui l'un des animaux les plus
riches du royaume."
Pas vous ! Ne le prenez pas pour vous !... Alors que la commune où je réside met en place une nouvelle forme de tri sélectif "individualisé" des déchêts
ménagers (le portage du papier, du verre, du plastique et du métal dans des conteneurs répartis aux 4 coins de la ville n'ayant pas été une réussite, et s'avérant trop coûteux pour la
municipalité), chaque foyer devant maintenant trier à domicile dans différents sacs poubelles "colorés" (moi, les conteneurs me convenaient très bien !), je serais tenté de dire, d'écrire,
qu'on vit vraiment dans un monde de c..., d'imbéciles, qui n'ont que faire de l'état de la planète. Même avec un débat sur l'écologie ayant accaparé (un peu trop ?) la dernière campagne
présidentielle on remarque que dès qu'ils doivent être mis à contribution les Français traînent les pieds. Peut-être que leur conscience écologique se réveillera quand leur porte-monnaie en
dépendra... Pour moi il y a bien longtemps que c'est une réalité, que j'essaie à mon modeste niveau de faire preuve de civisme écologique, que je soutiens certaines causes. Notamment celle
défendue par la Surfrider Foundation, peut-être parce que j'aime la mer, l'océan, même si je suis piètre nageur et encore moins surfeur...
N'y voyez rien de particulier... La forme de ce bâtiment militaire américain n'est que pûre coïncidence ! Dixit l'Etat-Major de la Marine US qui a tout de
même confié à un architecte paysagiste la mission de camoufler cette svastika sous un toit végétal afin que la construction se fasse oublier !
PS Ce sont des internautes "Google Earthiens" qui ont découvert la chose et se sont indignés que l'armée américaine ait fait construire un tel bâtiment !
Boum !... Il y aura tout juste 50 ans ce jeudi 4 octobre ! Demain soir à 21h12 pour être précis... 50 ans que les Soviétiques expédiaient dans l'espace le premier satellite
artificiel, Spoutnik 1... Un pied-de-nez à l'Amérique d'alors, toute puissante mais dépassée (par surprise ?) dans la course à l'espace. Des Américains qui découvrent (incrédules ?) du jour au
lendemain qu'ils ne sont pas à l'abri d'une éventuelle attaque nucléaire : oui, à peine la conquête spatiale commence-t-elle qu'URSS et USA pensent déjà à l'armement stratégique. Si une fusée
soviétique a pu envoyer si loin et si haut un satellite alors un missile nucléaire peut atteindre le continent américain... Bip... Bip... Bip... Petit "compagnon de voyage" victime ou symbole de
la Guerre Froide ?!
Vu chez Zé Moi, ce (presque) grand'moment de solitude à l'antenne quand tout ne se passe pas idéalement. Elle a beau avoir un téléspectateur en ligne, avoir
un ou 2 techniciens avec elle en studio, quand ça doit survenir ça ne se retient pas. En même temps c'est ce qu'on appelle la Call-TV, il ne faut pas en attendre autre chose. Tout est dit ou
fait dans les premières secondes de la vidéo. C'est de la m... C'est à gerber ! Qui a dit de rire ?
Je vais me faire pédagogue, pour ceux qui ne sauraient pas comment ça fonctionne ?! La Call-TV, vous savez, ce programme
direct-live qui remplit les heures creuses de votre télévision (= faible audimat) et dans lequel on incite le téléspectateur à appeler un numéro surtaxé dans le but de lui faire gagner trés
rarement une somme d'argent ou un autre cadeau, la Call-TV donc est produite à 99 % (pour l'Europe et le Bassin Méditerranéen) par une société hongroise installé dans un immeuble dont les
étages sont divisés en autant (ou presque) de studios que de "pays clients", un studio servant (suivant les créneaux horaires de diffusion) à réaliser plusieurs directs à la suite l'un de
l'autre, ce quasiment 24 heures sur 24 ! 2 heures de Call-TV française pouvant succéder à une heure de Call-TV turque et précéder 2 heures de Call-TV irlandaise, vous voyez le truc. Du
travail à la chaîne, quoi ?!.. Oui, je sais, le jeu de mots était facile à faire !... Le décor sert pour plusieurs pays, seul l'image de fond est modifiée selon les pays : une vue de la
Tour Eiffel et Paris pour la France, de l'Acropole et du Parthénon pour les Grecs, de la Petite Sirène de Copenhague pour les Danois. Vous voyez le tableau... Les "Call-girls" animatrices
sont originaires du pays de diffusion, ont un contrat de travail précaire pour quelques heures de boulot par semaine, sont hébergées à l'hôtel. On ne peut même pas dire "Soit belle et
tais-toi !" parce que la "Call-girl" passe son temps à parler, à occuper l'antenne à appelant désespérément les rares téléspectateurs à composer le numéro inscrit à l'écran. Un travail
hautement intellectuel pour elle, pour ceux qui regardent ça et qui parfois participent ! Les gains, ou plutôt les profits, sont pour la société réalisant cette Call-TV : la chaîne qui
diffuse le programme perçoit un pourcentage sur les recettes gagnées avec les appels téléphoniques surtaxés, le reste est acquis par l'entreprise hongroise pour payer ses frais de
production, et accessoirement un téléspectateur gagnant par heure de Call-TV. Point trop n'en faut...
C'est ce lundi 1er octobre que sort le nouvel album solo d'Annie Lennox, ex-chanteuse d'Eurythmics*. Plus que 2 jours à attendre. Pour vous
faire patienter voici quelques extraits...
En ce début de soirée, alors que je ne sais toujours pas comment je vais occuper les heures qui viennent, je suis sur le Net tout ayant la TV allumée juste à coté. Elle diffuse "50mn Inside" sur
TF1. Nikos Aliagas et sa complice Sandrine Quétier annonce un reportage sur Claude François, je tourne la tête et je découvre le chanteur au tout début de sa carrière en 1962 (!). Je reste
sidéré... La ressemblance est flagrante. Ce matin Cyrille m'a encore parlé du film "Un amour à taire" avec Jérémie Rénier. Et là sur l'écran de télévision le Claude François d'hier est le Jérémie
Rénier d'aujourd'hui, à moins que cela ne soit l'inverse... Il paraît qu'on a tous notre sosie ! Avec plus de 6 milliards de Terriens la probabilité est effectivement trés forte. Pas besoin
d'aller chercher à l'autre bout de la planète, rien qu'ici en France on peut le trouver. Je suis sûr que mon "clône" physique existe pas trés loin d'ici. Sans compter avec les ressemblances
familiales. Déjà qu'on me dit que je ressemble comme 2 gouttes d'eau à mon frère ainé. Mais là eux, sans savoir qu'ils n'ont aucun lien de parenté, qu'ils sont de générations différentes, on les
prendrait pour des jumeaux... Verra-t-on le comédien "bôgosse" dans un rôle où il interpréterait le chanteur dans son époque yéyé ? Pourquoi pas, pour peu qu'il lui reste du temps : ce boulimique
du cinéma est annoncé dans pas moins de 10 films à sortir d'ici fin 2008 !
Je n'avais jusqu'ici pas estimé nécessaire de rendre un quelconque hommage à Jacques Martin décédé l'autre semaine... Bien sûr l'homme aux multiples facettes
a bercé les dimanches après-midis de mon enfance, j'en garde quelques souvenirs, mais je dois avouer que (comme beaucoup) son départ forcé et son absence du petit écran n'ont provoqué, chez moi,
à l'époque et jusqu'à aujourd'hui, aucun regret. Ainsi va la vie !... Cependant à la lecture des hommages rendus et témoignages écrits ici-et-là dans la presse j'ai pris conscience qu'un Grand
Monsieur de la télévision venait de disparaître. Une ribambelle de jeunes (et moins jeunes !) animateurs et/ou producteurs de la TV d'aujourd'hui lui doit une fière chandelle. Dès 1975 (et
peut-être même avant) avec le Petit Rapporteur puis la Lorgnette il avait révolutionné les programmes en présentant des émissions au ton décalé accompagné de chroniqueurs tout aussi illuminés que
lui. Une autre télé était née...
En fait si je viens vous parler de Jacques Martin ici, c'est pour rapporter (!) une de ses nombreuses réflexions pleines de bon sens, criantes de vérité, auxquelles il nous avait habitué,
lue dans la presse magazine TV de cette semaine : "Dans les moments où vous doutez au plus fort de vous-même, souvenez-vous que vous avez été, au tout début de votre histoire, dans le ventre
de votre mère, le vainqueur d'une compétition devant des millions de concurrents."
Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de rajouter autre chose, voilà un saltimbanque qui avait tout compris de la vie ici-bas...
...je passais ma première soirée (2007) à Lisbonne. Un retour
en Lusitanie, près de 10 ans après mon dernier voyage au Portugal. Je ne dirai pas que je connais bien, mais je commence à avoir des souvenirs marquants et cette nouvelle visite de Lisbonne a
fait ressurgir des images, des odeurs, des sons connus. En premier lieu les repas pris dans les tascas, les petits restaurants populaires. On dit qu'il est impossible de mourir de faim ou de soif
à Lisboa. Je confirme. J'y ai fait une cure de poissons, bacalhau (morue) a Bràs, sardines grillées, saumon à l'ail... Accompagnés de vino verde (beaucoup !) et de porto aussi (moins !)... Oui,
qui dit Portugal et Lisbonne dit gastronomie, cuisine et vins. S'il y a un resto sympa à ne pas rater (et à vous conseiller) c'est bien le Poele Na Bicha situé dans le quartier de Bairro Alto.
Découvert par hasard, en essayant de se poser pour un repas du soir. Arrivés à 21:00 on en est sorti à 01:30 du mat'. Dans une bonne ambiance on y mange mieux que bien, l'accueil est top, le
patron polyglotte... Et, sans l'avoir cherché (j'étais là-bas avec un groupe exclusivement hétéro !), il m'a même semblé que l'établissement était très gay-friendly, ce qui avouons-le ne gâche
rien...
PS Derrière la carte du Poele Na Bicha retrouvez un album-photos de Lisbonne...