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Mon web à moi, ma vie... Mes envies, mes amours, mes humeurs, mes emmerdes et vous !

6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 20:26

candy-magazine-james-franco-300x203.jpg  Le beau James Franco ne craint pas les critiques. Il n'a que faire de ce que peuvent penser les censeurs. Il tente les expériences comme il enchaîne les rôles, n'hésitant pas à se mettre dans la peau de différents personnages tous aussi différents les uns que les autres. Et sans doute un exemple à suivre pour Zac Efron (lire l'article ci-dessous).

 Aujourd'hui il n'est pas question d'un film, d'un rôle pour l'acteur révélé par la trilogie Spider-Man. Celui qu'on a aimé dans Harvey Milk et qu'on verra prochainement dans Howl a osé l'impossible. Mais peut-être pas pour lui.

 Pour les besoins du très gay-friendly Candy Magazine, édition spéciale automne hiver 2010-2011, James Franco a accepté de poser pour le photographe Terry Richardson et le résultat est plus qu'étonnant, le comédien étant à peine reconnaissable. Seuls les lecteurs habitués de Candy, dédié aux travestis, aux transexuels, à l'androgynie, sauront voir qui se cache derrière cette femme gantée de cuir, maquillée à outrance et portant faux cils et bijoux bling-bling...

 Une vraie femme. Après des rôles d'homosexuel, voilà un shooting photos qui permet à James Franco d'explorer une autre facette de sa personnalité. Beaucoup le voudraient mais il n'est pas certain que le principal intéressé le voit ainsi, n'est-il pas acteur ?

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 06:34

leonardo-dicaprio-and-zac-efron-shirtless.png  ...car il ne pourrait pas se reconnaître dans un personnage homosexuel. C'est ce que le comédien a déclaré, interviewé pour la promotion pour son nouveau film Charly Saint-Cloud, alors qu'il exprimait son admiration pour Leonardo DiCaprio, son modèle.

 L'acteur, héros de la trilogie High School Musical et idole des plus jeunes, n'a pas 13 ans d'écart avec son ainé et cela lui permet de justifier (c'est son avis !) le fait qu'il ne pourrait pas interpréter des rôles aussi différents (et difficiles ?!) que ceux joués par Leonardo DiCaprio au même âge : adolescent accro à la cocaïne dans Basketball Diaries ou poète homosexuel (Rimbaud) dans Total Eclipse. Sans langue de bois, affirmant être fatigué des rôles de beaux gosses [NDLR, mais encore trop jeune pour être le gendre idéal !], Zac Efron convient qu'il n'est toutefois pas prêt à tout pour obtenir le rôle qui casserait cette image qui lui colle à la peau...

 Peut-être peut-on rappeller au jeune Californien la définition du mot acteur car visiblement il a oublié qu'un bon comédien est apte à se mettre dans la peau de ses personnages quel que soit le rôle interprété. Revenant sur la filmographie de Leonardo DiCaprio, Zac Efron déclare dans Times "...Les temps sont différents désormais. Il est difficile de faire ce genre de films... Et puis il faut que ce soit de rôles auxquels je puisse m'identifier et dans lesquels je puisse me reconnaître. Je ne le ferais pas juste pour le faire."

 Voilà qui devrait refroidir un peu, beaucoup, tous ceux et surtout toutes celles qui voient en lui un futur grand d'Hollywood. Malgré sa présence dans le Top 10 des acteurs promis à un grand avenir (classement Vanity Fair) il resterait donc un jeune homme lisse à la plastique travaillée, au sourire Email Diamant, refusant de salir son image et abonné aux niaiseries prépubères de Disney ou autres soap soupes similaires.

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 17:22
  Court-métrage argentin réalisé en 2007 par Marco Berger... Avant son exécution par des rebelles, un condamné à mort à qui on promet une ultime cigarette souhaite recevoir un baiser comme dernière volonté. Le problème ? Il n'y a là que des hommes... En prime la présence au générique de Manuel Vignau et de Lucas Ferraro que l'on a pu voir sur nos écrans cet été dans le très beau film "Plan B".
 
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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 07:20

sacha-baron-cohen-jouera-freddie-mercury-1.png  On ne lui en demande pas tant, égaler l'idole sera déjà un succès (d'estime), pour lui et pour nous... Dans un premier temps il devra revoir sa coupe de cheveux et tailler la moustache de Borat. Pour le reste on peut lui faire confiance, Sacha Baron Cohen devrait être sera plus que parfait dans le rôle principal d'un prochain film dont le tournage devrait commencer au plus tôt au printemps 2011. Le comédien anglais, véritable touche-à-tout, y incarnera donc Freddie Mercury et la ressemblance physique entre le personnage de Borat et le leader de Queen laisse à penser que Sacha Baron Cohen est l'acteur idéal pour représenter à l'écran le fantasque chanteur des années 70-80. Il faut préciser que celui qui a interprété tour à tour l'apprenti rappeur Ali-G, le journaliste kasakh Borat et le styliste gay autrichien Brüno rêvait du rôle avant même que le scénariste Peter Morgan ne commence à travailler sur le synopsis de ce qui sera peut-être The Queen 2* [NDLR, le film n'a pas de titre pour l'instant] et que le comédien a un passé de chanteur puisqu'il a participé à diverses comédies musicales. On peut donc penser logiquement qu'il sera totalement impliqué dans le projet cofinancé par GK Films, Robert De Niro Treblica Productions et... Queen Films puisque les membres (survivants) du groupe ont donné leur aval pour que le long métrage puisse se faire, Brian May et Roger Taylor s'arrogeant le droit de superviser la partie musicale du film, lequel devrait se terminer par une scène (dans tous les sens du terme ?) en apothéose : le mythique concert du Live at Wembley en 1985...

* En référence au film de Stephen Frears "The Queen" (d'un tout autre sujet) dont Peter Morgan fût le scénariste !

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 18:18
  On connaît maintenant la date de sortie sur les écrans français du nouveau film de Christophe Honoré présenté la semaine passée au 63ème festival du film de Locarno (Suisse). Il nous faudra encore attendre un bon mois pour découvrir la totalité du 7ème long métrage du réalisateur de Dans Paris et Les chansons d'amour. Un film " Homme au bain" qui selon les informations diffusées par les médias helvétiques (reprenant les réactions des spectateurs de Locarno à la sortie de la salle) devrait en choquer plus d'un, plus d'une. Un accueil très mitigé puisqu'il a été sifflé par certains festivaliers pendant sa diffusion, certaines images étant particulièrement crues, voir pornographiques...
 Sans doute la présence au générique de François Sagat, la pornstar française, y est-elle pour quelque chose. La belle Chiara Mastroianni complète le casting avec quelques beaux garçons tels que Dustin Segura-Suarez, Omar Ben Sellem, Lahcen El Mazouzi, etc. à aller voir dès le 22 septembre.
 Cela nous permettra de nous faire notre propre jugement sur la dernière réalisation de Christophe Honoré, lequel demeure à mes yeux un grand, un très Grand, du cinéma hexagonal actuel.


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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 20:23

imran-khan-1.jpg  Alors qu'il y a un an (déjà !) la Haute Cour de Justice de Delhi dépénalisait l'homosexualité en Inde et qu'une première librairie homo est ouverte (sur le Net) depuis un mois maintenant, le cinéma bollywoodien n'avait pas attendu, lui, aussi longtemps pour être définitivement gay-friendly (sans doute son coté kitsch !?), ce même s'il n'y avait jamais eu de rôles ouvertement homosexuels à Bollywood.

 Voilà que la star montante des studios indiens, Imran Khan, se rêve en icône gay. Oui, celui qui s'est déjà déclaré en faveur de la reconnaissance des droits des homosexuels en Inde affirme aujourd'hui travailler à devenir une icône pour la communauté LGBT du sous-continent indien. Non seulement en apportant son soutien aux causes gay, n'a-t-il pas dit récemment qu'il n'y a "pas d'histoires d'amour homo ou hétéro mais simplement de belles histoires d'amour car c'est un sentiment, une émotion, que chacun ressent à sa façon", mais Imran Khan veut que les films tournés à Bollywood s'ouvrent à l'homosexualité comme cela se fait déjà dans le cinéma américain ou européen.

 Bousculer les traditions, telle est la mission que s'est donné le nouveau roi des productions cinématographiques de Mumbai (Bombay), ne refusant pas d'interpréter un jour futur le rôle d'un homosexuel quand la gay-attitude sera définitivement acceptée par la population du 2ème pays le plus peuplé de la planète...

 Sans vouloir lui briser ses rêves, disons-lui tout net, ce n'est pas pour tout de suite. [Source : AfterElton.com]

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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 18:47
  Réalisé en 2006 par des étudiants de l'Université de Californie du Sud (avec Michael Tringe aux commandes), voici "Dirty Love", un court-métrage qui narre, sans dialogue (une des règles imposées à ce projet universitaire), la rencontre nocturne d'un jeune gay et d'un prostitué...

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 19:25
kaboom-gregg-araki-queer-palm-cannes-2010.png  La première Queer Palm décernée à Cannes a été attribuée aujourd'hui au nouveau film de Gregg Araki. Le synopsis ? "Smith mène une vie tranquille sur le campus - il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet - jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer. Sous l’effet de space cookies ingérés à une fête, Smith est persuadé d’avoir assisté à l’horrible meurtre de la fille rousse énigmatique qui hante ses rêves. En cherchant la vérité, il s’enfonce dans un mystère de plus en plus profond qui changera non seulement sa vie à jamais, mais aussi le sort de l’humanité..." [Source : AlloCiné.fr]"
 Un film produit en 2009 dont on ne connaît pas encore la date de sortie sur nos écrans. Peut-être n'arrive-t-il chez nous qu'en version DVD, ce qui nous obligera à attendre encore plus longtemps pour découvrir le beau, très cute, Thomas Dekker !
 En attendant la bande annonce, voir ici un extrait qui confirme les propos de Xavier Leherpeur, journaliste pour StudioCinéLive et Le Cercle, membre du jury, lequel explique que "Kaboom" est un "cinéma apocalyptique, joyeux, queutard, où tout le monde baise, où toutes les sexualités co-existent..."
 A noter que le film de Gregg Araki a fait l'unanimité du jury, juste devant "Les amours imaginaires", le 2ème long métrage du jeune cinéaste québecois et trés gay Xavier Dolan !

 - Up-date - 27/05/2010 - Retrouvez ici la réaction de Gregg Araki (absent de Cannes) à l'annonce de la récompense attribué à son film.
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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 17:10

queer-palm-cannes-2010.jpg  "La Croisette se met au rose : initiative soutenue par le site Yagg.com, le premier prix du film gay et lesbien sera décerné le 22 mai, en marge de la compétition officielle. Précurseurs, les festivals de cinéma de Berlin et Venise ont leur prix "gay" depuis près de vingt ans.

 L'idée est de récompenser un film pour sa contribution aux questions lesbiennes, gays, bi ou transsexuelles. Parrainée par Olivier Ducastel et Jacques Martineau, réalisateurs de "Jeanne et le garçon formidable", la "Queer Palm" distinguera un film parmi ceux présentés au festival de Cannes, toutes sections confondues: Sélection officielle, Un Certain Regard, La Semaine de la Critique, La Quinzaine des réalisateurs.

 Le jury est composé de représentants des festivals de cinéma gay et lesbien de Paris, Lyon et Londres, et de journalistes des magazines Première, Têtu, Les Inrockuptibles, Screen International et Studio Ciné Live (www.queerpalm.fr)." [Source : AFP]

 Réflexion personnelle, mais partagée ailleurs, est-il bien utile de copier ce qui se fait ailleurs ? La Berlinale a son Teddy vieux de 24 ans. Le Queer Lion, son équivalent vénitien, n'a que 3 ans. La nouvelle récompense cannoise est une initiative louable mais y a-t-il nécessité à vouloir estampiller un film comme étant gay-friendly alors qu'on sait déjà il n'a pas été réalisé dans cette optique et qu'il ne sera jamais présenté dans un festival de films gay et lesbiens ? Le cinéma, n'est-il pas universel ?  Le Festival de Cannes récompensant le cinéma mondial, y verra-t-on bientôt une Palme attribuée au cinéma israélite (à la demande de la communauté juive) ou une Black Palm exigée les Africains ?

 Bon, allez, ne boudons pas notre plaisir de cinéphile et rendez-vous le 22 mai, veille du palmarès officiel, pour savoir qui remportera cette première Queer Palm.

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 19:09
  C'est ce mercredi que sort les écrans français le film brésilien "Jamais sans toi" ("Do começo ao fim" en VO) qui nous narre la passion et l'histoire d'amour inconditionnelle entre Francisco et Thomas, deux demi-frères, au travers du récit de leur vie depuis leur enfance au cours de laquelle ils développent une complicité ambiguë jusqu'à l'âge adulte où leur relation fusionnelle et leurs sentiments seront mis à mal par une séparation non prévue... En attendant de découvrir le film en salle, découvrez le bande-annonce (en VOSTF) ici.
 Et pour ne pas bouder notre plaisir de (re)voir Rafael Cardoso et Joao Gabriel Vasconcellos, voici une vidéo qui ne devrait pas vous laisser indifférent.
 
 
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