9 octobre 2006
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Puisque j'ai envie de l'écrire, de le dire, ouvertement, c'est décidé, c'est ici que je le ferai... Au risque d'en choquer ou vexer plus d'un... (A. et S. devraient s'y reconnaître !)... En espérant aussi qu'un maximum de monde en prenne connaissance, pas seulement ceux qui ont pris contact avec moi (et inversement) ici ou ailleurs (je parle d'autres... sites !) : j'ai passé l'âge d'être beau, jeune et con !
Oui, je le pensais déjà, (il y a un âge où il faut se faire une raison !), et à bien y réfléchir, mon expérience récente me le confirme...
Oui, depuis mon retour de vacances, comme si quelque chose avait changé en moi, voilà que par 2 fois (en l'espace de 15 jours), j'ai eu vite fait de comprendre, après un énième "Salut... Bonjour !...", que je ne corresponds pas (ou plus) à l'image que l'autre peut voir ou avoir de moi. Et peut-être, même, moi... de moi même !
Oui, j'ai pu me tromper, non, je n'ai ni menti ni trompé !
Oui, je suis toujours le même...
Et je me répète, j'ai simplement passé l'âge d'être beau, jeune et con !
PS à F., malgré la raréfaction (?) de nos échanges, et quelques mots (ou maux ?), tu n'es pas visé par ce post... Un peu brouillon !
9 octobre 2006
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4 jours sans publier d'article... Mon silence a déjà été plus long, mais ce grand week-end sans O.-B. m'a été plus ou moins imposé par des circonstances bien imprévues. La clémence de la météo m'a d'abord incité à sortir... Ce qui m'a en fait permis de me changer les idées et d'oublier que depuis vendredi soir mon PC a décidé de ne plus collaborer, et j'en suis particulièrement énervé. Impossible de trouver la cause de ses arrêts intempestifs après 3 ou 4 heures de travail. Besoin d'une pause ? Je ne le savais pas doté d'une intelligence sociale, lui qui depuis toujours à fonctionner sans rechigner parfois plus de 8 heures par jour, lui qui ne connaissait pas les 35 heures hebdomadaires... D'ici à ce qu'il décrête une grève sans préavis après ces débrayages mal venus et me réduise au silence... Je crains le pire, pour lui comme pour moi !
5 octobre 2006
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20:58
Petit quizz rapide (et sympa ?) dont j'ai trouvé le lien sur le blog de BoSauvage : comme d'habitude quelques questions suffisent à obtenir une réponse qui peut correspondre à la... réalité... J'aimerais quand même savoir si d'autres (parmi vous) ont obtenu un pourcentage qui sorte de la 60taine. Et une autre appréciation !
PS Ce n'est pas moi sur la photo... Avouez qu'il a du charme, non ?!
1 octobre 2006
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"J'ai décidé d'affronter la réalité, alors dès qu'elle se présente bien, prévenez-moi." [Quino, Malfada]
28 septembre 2006
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11:17
L'AL1 sans sa casquette, c'est un peu comme le Capitaine Haddock sans sa... pipe !... Pas indispensable, mais il me manque quelque chose quand je ne l'ai pas sur la tête (ou en main !)... Et mon problème (#1), c'est que je l'ai égarée, oui, bel et bien perdue... C'est que je l'aimais bien ma casquette Energie Dycus (la bleue, logo jaune !). Mon problème (#2), c'est que ce couvre-chef est déclaré épuisé là où je l'ai acheté et (pas de chance pour moi !) il n'y aura pas de réassort...
Alors j'appelle "à l'aide", si vous apercevez en vitrine un exemplaire du même modèle (la bleue brodée jaune !), pensez à moi SVP ! Merci !!
28 septembre 2006
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10:14
...Quelques heures de bonheur. Et chacun son bonheur ! Je l'ai vue une dizaine de fois en 20 ans. Grâce à des déplacements professionnels de quelques jours, et des vacances à proximité aussi. En fait je devrais dire "Je l'ai aperçue..." car je la connais peu. Trop mal... Elle est belle, jeune, elle a la "bougeotte", elle respire la joie de vivre. C'est sans doute dû au soleil omniprésent (et à la mer pas loin)...
Elle, c'est Montpellier, mon point de chute pour ma dernière semaine de congés. Quelques années d'absence et un retour limité (pour moi) plein d'envies. Y être vraiment et prendre le temps de s'arrêter, de (re)découvrir cette autre façon de vivre. Celles des gens du Sud. D'origine ou exilés... Car, petite (ou grosse !) parenthèse, la réalité est là, c'est à Montpellier que j'ai rencontré (ce n'était pas le hasard !) un ami, non pas du crû, mais venu de 800 km plus au Nord (Qui a dit 9600 km ?)...
Quelques heures et, un repas plus tard, déjà le temps de voir, de vivre autres choses, ailleurs, dans la ville, sur la route. Mais pourquoi faut-il toujours que les choses qu'on aime (lol !) apprécie aient une fin ?
PS Désolé, mais mon album-photos n'a pas là d'images de beaux Montpelliérains (d'un jour ou de toujours)... J'en ai vu mais je les garde en rêve ! lol !!
25 septembre 2006
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...industriel ! Cela n'était aucunement prémédité, ou peut-être réfléchi inconsciemment, est-ce le fait d'avoir visité la veille le Musée des Arts & Métiers (d'y avoir vu des trains et ponts miniatures) et de me rendre en Belgique 2 jours après. Toujours est-il que ce matin-là après avoir traversé la Seine (nouvelle passerelle S. de Beauvoir !) et le parc de Bercy (et contourner le POPB !) je me suis retrouvé devant la Gare de Lyon...
Ne sachant pas trop comment occuper ma journée* l'idée m'est venue non pas de prendre le train mais de me faire toutes les gares de Paris. A pied (et en métro aussi !) j'ai visité ces endroits qui font rêver certains, plus pour les départs qu'ils évoquent que pour les arrivées. De Paris, en train, on préfère s'en échapper que d'y venir, n'est-il pas ?...
Après celle de Lyon, la Gare d'Austerlitz, avant celles de l'Est et du Nord, et terminer par la Gare de Saint-Lazare.
Je ne suis pas passé par celle de Montparnasse... déjà vue et revue (Vieille connaissance !)... Une journée à voir des gares, des trains, des voyageurs, à fréquenter les brasseries (le fameux Buffet de la Gare ?!). Du tourisme industriel... ferroviaire... qui s'est achevé quelques jours plus tard (loin de Paris !) au Viaduc de Garabit, haut-lieu de la vie du rail. En route pour Montpellier je ne pouvais pas ne pas stopper là... Décu quand même ! lol !! Aucun train ne l'a franchi le temps de mon arrêt... Et c'est ainsi qu'a pris fin ma semaine trés "Chemins de Fer" !
* J'en vois déjà me dire "Un gay à Paris qui ne sait pas occuper sa journée ça n'existe pas !". Rassurez-vous, quand je veux, je peux... et je sais comment faire !
23 septembre 2006
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L'occasion était trop belle. J'ai sauté dessus et j'ai fait d'une pierre deux coups. Même plus, mais pas un ricochet. Simplement réalisé trois premières en une journée. C'était dimanche dernier...
Après de longues années, j'ai repris le train et pas n'importe lequel, un TGV, le Thalys ! Une première, (pour moi), qui m'a permis d'en réaliser une seconde. Une visite de Bruxelles, et là encore pas n'importe quelle découverte. La capitale belge vue sans voiture. Mais en compagnie d'un ami blogueur ! Ce qui constitue là aussi une grande première (la troisième du jour). La rencontre avec un Over-blogueur dont vous pouvez lire les écrits ici...
Merci Bleu ! Guide bien sympathique (d'un jour) dont je m'attacherai les services sans doute encore une fois... Thalys faisant bien les choses (je devrais écrire "...mal les choses"), j'ai gagné le droit de refaire le voyage à prix réduit. Prochainement ? Avec la SNCF (et ses partenaires) tout est possible...
PS Je tiens ici à préciser (contrairement à ce qu'on pourrait croire) que je ne collectionne pas les "boules à neige" ! lol !!...
23 septembre 2006
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20:23
Je crois que les histoires d'amour, c'est comme les voyages en train - Et quand je vois tous ces voyageurs, parfois j'aimerais en être un - Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare - Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard - Les trains démarrent souvent au moment où on s'y attend le moins - Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins...
Grand Corps Malade "Midi 20"
PS Ce matin-là, nous n'étions que 4 dans la voiture N°02 du train rouge qui m'emmenait vers Bruxelles... D'où cette impression de vide...
11 septembre 2006
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10:39
Je pars, il est donc temps de vous dire :
ADIEU !(*)
(*) ADIEU interj. et n. m. XIIe siècle, adeu ; XVe siècle, comme substantif. Composé de la préposition à et de Dieu, par réduction de la formule Je vous recommande à Dieu.
I. Interj. 1. Formule de politesse employée afin de prendre congé pour toujours ou pour longtemps. Adieu, monsieur ! Adieu donc ! Je ne vous dis pas adieu, car j'espère vous revoir. Adieu, à l'été prochain ! Dire adieu à quelqu'un. Par ext. et fam. Au revoir. Adieu, à demain ! 2. En s'adressant à ce qu'on quitte ou à ce qu'on a quitté pour toujours. Fig. et litt. Adieu mon enfance ! Adieu nos beaux projets ! 
Fam. Si les enfants jouent ici, adieu mes porcelaines ! Expr. Adieu paniers, vendanges sont faites, se dit quand on arrive trop tard. Pouvoir dire adieu à, devoir renoncer à. Vous pouvez dire adieu à vos brillants projets. II. N. m. Le fait de quitter quelqu'un ou quelque chose. Un adieu déchirant. Je viens vous faire mes adieux. Les adieux de Fontainebleau, en 1814. Un dernier, un éternel adieu, prononcé au moment de la mort ou d'une séparation définitive. THÉÂTRE. Les adieux ou la représentation d'adieux d'un acteur, représentation où, en principe pour la dernière fois, cet acteur se produit devant le public.
Je voudrais ici remercier Sébastien à qui je dois cette nouvelle bannière. Il sait tout le bien que je pense de lui, de ce qu'il a fait... @ trés bientôt ! A lui, à vous !
