19 mars 2010
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Cinéma encore, cinéma
toujours. Le plaisir d'être seul, accompagné, dans une salle obscure, vide, pleine à craquer, et de retrouver sur le grand écran un acteur, admiré.
Oui, ça sera, ça devrait être dans un mois dans les meilleures salles de France, dans les complexes, quoiqu'il ne soit pas encore certain que la diffusion soit aussi large qu'espéré...
"Le fil", nouveau film de Mehdi Ben Attia nous permettra de retouver le séduisant Salim Kechiouche (oui, oui, un de mes chouchous, je suis fan de la première heure !), une fois encore dans le rôle d'un homosexuel. Pas le beur, gay de service, mais bien l'arabe, le Tunisien, de là-bas, puisque l'action se passe au pays. Le synopsis ? De retour en Tunisie, après la mort de son père, Malik (Antonin Stahly), la trentaine, doit à nouveau vivre chez sa mère. Il voudrait lui dire qu'il aime les hommes, mais il n'y arrive pas et s'enfonce dans le mensonge. Lorsqu'il rencontre Bilal (Salim Kechiouche), tout devient possible : le jeune architecte, son amant et sa mère (Claudia Cardinale) s'affranchissent des interdits pour embrasser pleinement la vie. Dans la chaleur de l'été tunisien, chacun va toucher du doigt le bonheur auquel il a longtemps aspiré.
On notera le culot (!?) du réalisateur et de son équipe, sans oublier la production, qui ont osé aller tourner le film et ses scènes plus que sensuelles en Tunisie, pays où l'homosexualité demeure interdite par la loi et accessoirement par la religion...
Oui, ça sera, ça devrait être dans un mois dans les meilleures salles de France, dans les complexes, quoiqu'il ne soit pas encore certain que la diffusion soit aussi large qu'espéré...
"Le fil", nouveau film de Mehdi Ben Attia nous permettra de retouver le séduisant Salim Kechiouche (oui, oui, un de mes chouchous, je suis fan de la première heure !), une fois encore dans le rôle d'un homosexuel. Pas le beur, gay de service, mais bien l'arabe, le Tunisien, de là-bas, puisque l'action se passe au pays. Le synopsis ? De retour en Tunisie, après la mort de son père, Malik (Antonin Stahly), la trentaine, doit à nouveau vivre chez sa mère. Il voudrait lui dire qu'il aime les hommes, mais il n'y arrive pas et s'enfonce dans le mensonge. Lorsqu'il rencontre Bilal (Salim Kechiouche), tout devient possible : le jeune architecte, son amant et sa mère (Claudia Cardinale) s'affranchissent des interdits pour embrasser pleinement la vie. Dans la chaleur de l'été tunisien, chacun va toucher du doigt le bonheur auquel il a longtemps aspiré.
On notera le culot (!?) du réalisateur et de son équipe, sans oublier la production, qui ont osé aller tourner le film et ses scènes plus que sensuelles en Tunisie, pays où l'homosexualité demeure interdite par la loi et accessoirement par la religion...