17 juin 2007
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Initialement j'avais envisagé de titrer "Mauvais gagnants, heureux perdants" parce que cet article aurait dû traiter de ce dimanche électoral... En fait je ne
vais pas exclusivement discourir sur la nouvelle défaite de la Gauche aux Législatives. Mon trouble (d'où le "mi-figue, mi-raisin" !) est ailleurs ce soir... Bien sûr je suis heureux, je n'ai pas
vu la vague bleue (le tsunami !) annoncée par certains, à droite comme à gauche, y compris par les journalistes et les enquêteurs d'opinion. Je ne me fie qu'à ce que je vois ou lis, et
aujourd'hui les UMPistes ont beau dire qu'ils ont gagné (effectivement ils conservent la majorité absolue à l'Assemblée !) je considère qu'ils ont laissé des plumes dans la bataille, et que le
coq (même s'il reste droit sur le tas de fumier) a la crête qui plie ! Oui, le scrutin de 2007 fait perdre 46 députés à la droite UMP (ex-RPR) par rapport à 2002. Dans le même temps le PS en
gagne 64 ! Trouvez l'erreur, qui est le gagnant ? Qui est le perdant ? Sûr qu'il faut la majorité pour gouverner, mais hier il s'est passé quelque chose que personne ne peut nier, pas même (ou
surtout pas) ceux qui sont aux commandes aujourd'hui. Jamais dans l'histoire de la 5ème République il n'y a eu un tel retournement de situation entre les 2 tours des
élections législatives. Un nombreux important des candidats UMP (et pas des moindres !) arrivés en tête au soir du premier tour (avec parfois un écart de voix conséquent) ont été laminés au
second. Exit certains barons de la Droite, exit les 2 ex-Ministres condamnés par la Justice, exit les "people" plus médiatiques que compétents politiquement ! Pour la suite rendez-vous à nouveau
devant les urnes au printemps prochain ou dans la rue...
Donc ce post ne sera pas consacré en totalité à laséparation de Ségolène et François politique. J'ai ce dimanche soir un vrai dilemme (?) qui m'embête plus qu'il ne
m'indispose, car j'en connais déjà la solution, que pourtant je me refuse d'admettre comme définitive. Mon programme de vacances était bouclé depuis quelques jours. Partir, oui. Mais pas revenir
aussi vite à cette date. Voilà que pour mon dernier jour loin d'ici on me demande d'être rentré à la maison pour assister à un évènement familial qui me (nous !) tombe dessus
sans crier gare (bien qu'attendu depuis un certain temps). C'est le genre de choses que certains mettent des années à préparer, que d'autres expédient (à la va-vite) en moins de 5' dans la
capitale mondiale du jeu. Eux ont pris leur décision en cette fin de semaine et ont convoqué famille et amis (très) proches pour dans 15 jours... Je dois donc annuler, mettre en réserve, reporter
ce que j'avais prévu à ce samedi-là. Une journée que je n'étais pas loin de considérer comme la plus importante de mes congés. Mon dilemme ? Être avec des personnes que j'apprécie, que j'aime.
Envie d'être ici mais obligation d'être là ! Comment pourrait-il en être autrement. J'y serai...
Dernière petite chose, il m'est arrivé de dire indirectement d'un (jeune ?!) homme, sans l'avoir "réellement" rencontré, que je le trouvais non seulement intelligent mais également mignon (un physique sympa !), que nos échanges sur le Net, ici et ailleurs, quelque soient leurs formes, étaient intéressants. Ces propos rapportés semblent avoir soulevé des questions chez l'intéressé. Je n'ai rien à ajouter, à répondre, si ce n'est que tout ce que j'ai pu dire est vrai, pensé et sincère...
Ceci achève doncle vote du jury français mon rapport sur ce dimanche mi-figue, mi-raisin.
Donc ce post ne sera pas consacré en totalité à la
Dernière petite chose, il m'est arrivé de dire indirectement d'un (jeune ?!) homme, sans l'avoir "réellement" rencontré, que je le trouvais non seulement intelligent mais également mignon (un physique sympa !), que nos échanges sur le Net, ici et ailleurs, quelque soient leurs formes, étaient intéressants. Ces propos rapportés semblent avoir soulevé des questions chez l'intéressé. Je n'ai rien à ajouter, à répondre, si ce n'est que tout ce que j'ai pu dire est vrai, pensé et sincère...
Ceci achève donc