7 juin 2009
7
07
/06
/juin
/2009
17:54
Invité à répondre à "L'interview (f)utile" de L'Equipe Magazine, le rugbyman Sonny Bill Williams, qui joue à Toulon, à la question "Le juron que
vous prononcez les plus souvent ?" a osé déclarer : "Putain et pédé. Putain quand je loupe un ballon, et pédé, quand je chambre l'adversaire. Ce sont les Toulonnais qui m'ont appris
ça."
Voilà qui assurément ne le fera pas remonter dans le baromètre des bôgosses du rugby. Après de tels propos, on peut supposer que le beau Néo-Zélandais de 23 ans, arrivé en France l'an passé, venu avec tous ses muscles et ses tatouages, a dû laissé down under quelques neurones. Celui qui gagna là-bas le titre de "l'homme le plus détesté d'Australie en 2008" pour avoir quitté le rugby à XIII et abandonné l'île-continent au profit du club français nous montre finalement qu'il est comme les autres : un pois chiche dans le crâne. Et vous me direz à juste titre "C'est normal. A-t-on déjà vu un sportif un tant soit peu intelligent se faire tatouer son propre nom dans le dos comme un flocage sur le maillot qu'il porte quand il joue et qui cache donc ce tatouage ?"
Voilà qui assurément ne le fera pas remonter dans le baromètre des bôgosses du rugby. Après de tels propos, on peut supposer que le beau Néo-Zélandais de 23 ans, arrivé en France l'an passé, venu avec tous ses muscles et ses tatouages, a dû laissé down under quelques neurones. Celui qui gagna là-bas le titre de "l'homme le plus détesté d'Australie en 2008" pour avoir quitté le rugby à XIII et abandonné l'île-continent au profit du club français nous montre finalement qu'il est comme les autres : un pois chiche dans le crâne. Et vous me direz à juste titre "C'est normal. A-t-on déjà vu un sportif un tant soit peu intelligent se faire tatouer son propre nom dans le dos comme un flocage sur le maillot qu'il porte quand il joue et qui cache donc ce tatouage ?"