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Mon web à moi, ma vie... Mes envies, mes amours, mes humeurs, mes emmerdes et vous !

19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:45
le-fil-salim-kechiouche-mehdi-ben-attia  Cinéma encore, cinéma toujours. Le plaisir d'être seul, accompagné, dans une salle obscure, vide, pleine à craquer, et de retrouver sur le grand écran un acteur, admiré.
 Oui, ça sera, ça devrait être dans un mois dans les meilleures salles de France, dans les complexes, quoiqu'il ne soit pas encore certain que la diffusion soit aussi large qu'espéré...
 "Le fil", nouveau film de Mehdi Ben Attia nous permettra de retouver le séduisant Salim Kechiouche (oui, oui, un de mes chouchous, je suis fan de la première heure !), une fois encore dans le rôle d'un homosexuel. Pas le beur, gay de service, mais bien l'arabe, le Tunisien, de là-bas, puisque l'action se passe au pays. Le synopsis ? De retour en Tunisie, après la mort de son père, Malik (Antonin Stahly), la trentaine, doit à nouveau vivre chez sa mère. Il voudrait lui dire qu'il aime les hommes, mais il n'y arrive pas et s'enfonce dans le mensonge. Lorsqu'il rencontre Bilal (Salim Kechiouche), tout devient possible : le jeune architecte, son amant et sa mère (Claudia Cardinale) s'affranchissent des interdits pour embrasser pleinement la vie. Dans la chaleur de l'été tunisien, chacun va toucher du doigt le bonheur auquel il a longtemps aspiré.
 On notera le culot (!?) du réalisateur et de son équipe, sans oublier la production, qui ont osé aller tourner le film et ses scènes plus que sensuelles en Tunisie, pays où l'homosexualité demeure interdite par la loi et accessoirement par la religion...
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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 18:56
  Le film Joyeuses Funérailles (titre original : Death at a Funeral), comédie dramatique réalisée par le Britannique Franck Oz, eut en 2007 un bon succès d'estime. Et qui dit réussite en Europe dit souvent remake à suivre aux USA. Il ne faut donc pas s'étonner que le réalisateur Neil LaBute nous présente aujourd'hui une version américaine tout aussi hilarante qui sortira sur les écrans outre-Atlantique le 16 avril prochain et chez nous le 9 juin...
 Mais pour qu'un remake soit lui aussi une réussite il ne suffit pas de copier un scenario déjà connu des spectateurs, il faut y ajouter des ingrédients qui lui permettent de doper l'engouement du public. Et c'est là que Niel LaBute a, disons, réussi un coup de maître : inscrire dans le casting, et haut de l'affiche, au milieu de quelques pointures du cinéma américain, noires pour la plupart, le nom d'un comédien, blanc, dont la carrière est en plein boum. James Marsden ! Une bombe qui dans cette nouvelle version de Death at a Funeral nous offre quelques secondes inoubliables à faire saliver tous ceux, toutes celles qu'il a séduit par son talent... Et par sa belle gueule de jeune premier à croquer ! Après avoir endossé depuis 10 ans le costume moulant du mutant Cyclope dans la série des X-Men, le voici qui laisse tomber tout ce qu'il porte pour nous laisser entrevoir une des plus belles paires de fesses d'Hollywood... Pour beaucoup la meilleure scène du film, à voir ci-dessous.


 Bon, allez, je ne vais pas vous le cacher : jusqu'ici rien ne prouve que le beau fessier, vu de près, est bien celui de James Marsden, et pas celui d'un tout aussi séduisant comédien cascadeur. Une doublure, quoi !
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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 21:01
corey-haim-jeune-200x127.jpegcorey-haim-adulte-200x127.jpeg  Il avait connu la gloire en débutant, dans les années 80, une carrière d'acteur dans les films pour teenagers et était devenu rapidement l'idôle des adolescents américains. Originaire de Toronto, Canada, il s'était installé à Burbank, Californie, à proximité de Hollywood où il avait tourné jusqu'il y a 2 ans encore, dans plus de 30 (télé)films, étant parfois également scénariste et producteur, et où il est décédé la nuit dernière des suites probables d'une surdose médicamenteuse.
 Je me souviens encore de ces débuts d'après-midis des années 80-90 passés à occuper mon temps en regardant les films TV américains diffusés et rediffusés, tant et plus, sur TF1 et M6, avec notamment Corey Haim et sa gueule d'amour... Depuis je suis (heureusement) passé à autre chose, mais ce matin en apprenant son décès, son visage m'est revenu aussitôt. Tilt ! Un flash à rebours sur celui qui avait reçu de ses pairs plusieurs distinctions dont des Young Artist Awards (Best Young Actor in Motion Picture en 1986, Best Young Male Superstar en 1987) comme seuls les Américains savent en créer et en distribuer.
 Mais la carrière de Corey Haim, c'était aussi une longue descente aux enfers, avec des hauts, des bas, liée à de sérieux problèmes de drogue. "J'ai commencé par les tranquilisants car j'étais une boule de nerfs. Mais un mène à deux, deux à quatre, quatre à huit, jusqu'à ce qu'à la fin j'en prenne 85 par jour ! Les médecins n'arrivaient pas à croire que je puisse en prendre autant. Et encore c'était juste du Valium. Je n'ai pas parlé des autres pilules que j'avalais". Hier le Canadien d'Hollywood, qui récemment annonçait vouloir relancer sa carrière, affaibli par une grippe, n'a, semble-t-il, pas su résister à ses anciens démons...
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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 20:47
  Un Français de 25 ans dans le New York Times Style Magazine, c'est trop beau, surtout quand il est élégant !

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 08:16
  Vu hier soir "Eating Out 3 : All You Can Eat". Rien de transcendant, me direz-vous. Juste un moment de détente, oui. Mais l'occasion aussi de reluquer quelques beaux mecs bien faits de leur personne, de leur physique aussi, ou inversement, comme vous le voulez, et qui plus est, l'affirment dans le making-of ("behind-the-scenes" en anglais !), sont ouvertement gays ! Que des bons points à leur accorder, donc. Si l'ex-mannequin ex-étudiant en psychologie  Daniel Skelton avec son agréable physique passe-partout n'aura malheureusement pas la chance de faire la couverture de Têtu, il en est tout autrement de Chris Salvatore, qui est (il faut bien l'avouer) une véritable bombe. Un rêve pour nombre d'entre nous. Gare à l'explosion. Enfin, c'est ce qu'on lui souhaite. Qu'"Eating Out 3" n'est qu'un (bon) début pour ce jeune artiste touche-à-tout, comme le montre la vidéo ci-dessous qui n'est ni plus ni moins que la version acoustique du thème (musical) principal du film, la chanson "It's You (the La La Song)" écrite, composée et interprétée par Chris Salvatore lui-même...

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 21:57
sam-worthington-300x200.jpg  J'étais parti pour voir "Avatar", le film évènement de James Cameron. Et j'ai vu Sam Worthington. Bien sûr, en 3D, le nouveau long métrage du réalisateur de "Titanic" est monstrueux (attention je n'ai pas dit génial !) mais celui qui crève l'écran, plus que les effets spéciaux, plus que l'image numérique, au milieu des Na'Vis, c'est bien l'acteur australien de 33 ans. Beau comme un ange. En exagérant à peine je dirais que le handicap le rend encore plus sexy. J'ai craqué... En cliquant sur la photo (à gauche là !), vous comprendrez pourquoi j'ai bien envie de retourner voir "Avatar", pas seulement pour revoir en profondeur tous les détails du film, décors, personnages, lumière, etc.
 C'est simple, sur Pandora, il y a Sam Worthington aka Jake Sully ...et les autres. C'est tout.
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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 17:39
  Il fallait oser, les Brittons l'ont fait ! C'est à se tordre de rire !! Génial !!!

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 08:54
  C'est à l'occasion du 18ème anniversaire de la disparition de Freddie Mercury, décédé à Londres le 26 novembre 1991, qui les Muppets ont fait le show en rendant un vibrant hommage au leader du groupe Queen. Et leur interprétation de "Bohemian Rhapsody" est sans aucun doute l'un des plus beaux moments télévisuels du Muppets Studio 2009. Chapeau bas. Respect !

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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 01:10
  Faire du lobbying pour que Mehdi Dehbi dépasse le simple stade des pré-sélections pour les prochains Césars du cinéma français. Pour que le jeune acteur d'origine belge soit effectivement nominé dans la catégorie des "Révélations de l'année" et qu'il obtienne le précieux prix pour sa performance dans "La folle histoire d'amour de Simon Eskenazy", dernier film de Jean-Jacques Zilbermann, dans lequel Mehdi interprète Naïm, jeune travesti mulsuman dont tombe amoureux Antoine De Caunes, alias Simon Eskenazy, dans cette suite du très réussi "L'homme est une femme comme les autres"...
 Oui, faire du lobbying auprès de tous les membres de l'Académie des Césars et du Comité Révélations pour que le beau et craquant Mehdi Dehbi fasse partie des finalistes après un premier choix fait parmi les 16 comédiens pré-sélectionnés pour le César du meilleur espoir masculin 2010...
 Rendez-vous donc le 26 février prochain pour savoir si mon choix, notre choix, a été le bon !
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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 01:05
  C'est ce soir que France 2 diffuse le téléfilm "Mourir d'aimer", réalisé par Josée Dayan, avec Muriel Robin et Sandor Funtek, lesquels reprennent dans cette version années 80, les rôles qu'avaient tenus Annie Girardot et Bruno Pradal en 1970 dans le film d'André Cayatte... Gabrielle Delorme, professeur de lettres, et Lucas Melzieu, lycéen de 15 ans, succèdent à Danièle Guenot et Gérard Leguen. Mais l'histoire reste basée sur le fait divers qui marqua l'année 69 et se termina tragiquement lorsque Gabrielle Russier se suicida le 1er septembre 1969 : séparée de son mari, Gabrielle rencontre Christian, lycéen de seconde, en marge de manifestations de l'après-mai 68. L'amour s'installe. Après avoir laissé faire un temps, les parents de l'adolescent portent plainte. Christian fugue et Gabrielle est arrêtée. Plusieurs semaines d'enfermement qui aboutissent au procès qui se tient en juillet 69. La professeure est condamnée à 12 mois de prison et 500 francs d'amende. Peine pas assez lourde pour le parquet qui fait appel. Gabrielle, à qui l'Université vient de refuser un poste, n'attendra pas le nouveau verdict. Fatiguée, usée par cette histoire d'amour impossible (pour l'époque), elle met fin à ses jours juste avant la rentrée scolaire. Sa mort ne fera pas 2 lignes dans la presse nationale ou régionale alors que quelques semaines, quelques mois plus tôt, l'enseignante a été l'objet d'un véritable lynchage politique et médiatique...
 Un an plus tard, l'affaire est portée à l'écran dans le superbe film d'André Cayatte, illustré par la belle chanson titre de Charles Aznavour "Mourir d'aimer". La polémique née du fait divers ne l'empêche pas de cumuler plus de 4,5 millions d'entrées en salle. Espérons que le téléfilm de soir obtienne un audimat aussi brillant.

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