"Casse-toi pauvre con !" Encore une fois on serait tenté de lui dire de la fermer et d'aller se faire voir chez les
G... Moi, je lui dirais sans hésiter "T'as vu ta gueule ? Même le plus désespéré des pédés ne voudrait pas de toi !"
Il a dû passer plus d'heures dans les salons de beauté et les cliniques spécialisées que toute la gente féminine transalpine réunie et le résultat frise l'erreur médicale. Je serais lui je porterais plainte contre mon chirurgien esthétique !
Encore une fois Silvio Berlusconi nous a gratifié d'une de ses sorties outrancières en cherchant à justifier la sale habitude qu'il a prise de fréquenter de très jeunes femmes (payées 5000 € !) dans des parties très privées qu'il organise dans ses propriétés ou dans les palais de la République. "Je travaille depuis toujours à un rythme infernal et s'il m'arrive de temps en temps de regarder de belles femmes... Eh bien il vaut mieux avoir la passion des belles femmes que d'être gay..."
Un nouveau dérapage homophobe pour excuser son intervention, "son geste de solidarité" comme il le dit fièrement, auprès de la police italienne qui avait interpelé une jeune délinquante laquelle s'est avérée être une damoizelle (mineure à l'époque des faits) que le Président du Conseil a intimement connue lors d'une fête s'étant déroulée dans sa résidence milanaise... La vulgarité berlusconienne a atteint cette fois-ci des limites que lui seul peut encore repousser, pour le plus grand mal de l'Italie et de l'Europe toute entière, de la communauté LGBT en particulier.