"Le patinage artistique masculin devient de plus en plus artistique et de moins en moins masculin, voilà le
constat que dresse L'Equipe dans son édition de jeudi, alors que le programme court des Championnats du monde se déroule mercredi à Los Angeles. En cause, le nouveau système de jugement mis en
place en 2004 valorisant les éléments artistiques au détriment des éléments techniques tels que les sauts, et favorisant donc une forme d'expression qui se traduit, chez certains compétiteurs,
par un style efféminé. Certains en jouent comme l'Américain Johnny Weir (photo de gauche) avec sa silhouette androgyne, ses yeux et lèvres maquillés et ses sacs à main qui ne sont rien à côté de
son discours assumé : «Quand je tombe sur une retransmission des hommes à la télé, je zappe. Ça ne m'intéresse pas. Moi, le seul patinage qui m'inspire, celui auquel j'aspire, c'est celui des
femmes.»
Bref, tout le contraire de Brian Joubert : «Quand tu es jeune, tu entends toujours cette réflexion : le patinage, c'est un sport de fille. Et quand je vois certains de mes concurrents,
je peux comprendre que cette image existe et qu'elle soit véhiculée, même si notre sport est d'abord très dur, physiquement et mentalement. (...) Pour ma part, un mouvement de bras ou de
main qui se voulait élégant, je refusais de le faire. J'étais une caricature dans mon genre, et à trop vouloir être masculin je n'avais aucun sens artistique.» Artistique ne veut pourtant
pas dire efféminé. «Peu importe que tu sois gay ou pas, tu n'as pas à exposer ta sexualité sur la glace», insiste le Canadien Patrick Chan (à droite ci-dessous).
Finalement, le nouveau système de jugement qui met en avant la glisse, la tenue du corps et favorise le patinage au port altier et classique ne cacherait-il pas tout simplement la fragilité
technique de certains concurrents ?" [Source : L'Equipe.fr]
En tout cas, s'il en est un qui ne peut plus vraiment cacher sa grâce sur la glace et son homosexualité en dehors, c'est le patineur valaisan Stéphane Lambiel, qui s'est vu outé par la presse à sensation suisse allemande, avant
que les autres médias helvétiques suivent et confirment ce qui n'était plus qu'un secret de Polichinelle...
Vu la situation Henrik Stenson a estimé ne pas avoir d'autre choix. Quand il n'y a plus que cela pour s'en sortir,
il faut oser. Le golfeur suédois, N°5 mondial, l'a fait. Son coup précédent ayant expédié la balle dans une zone boueuse du parcours du dernier Miami CA Championship, Henrik Stenson a tout
envisagé pour se sortir de ce faux pas. Et pour ne pas salir sa tenue il s'est séparé de ses vêtements le temps de frapper le coup lui permettant de replacer sa balle sur le green. Commentaire de
l'intéressé : "Je ne pense pas avoir scandalisé grand monde... Et s'est-on jamais : je pourrais même décrocher un contrat avec Playgirl ou quelque chose du genre."
Oui, oui ! On peut lui proposer bien d'autres magazines, plutôt masculins, voire un shooting photos pour le compte d'un fabricant de sous-vêtements car visiblement Henrik Stenson porte bien
le shorty...
Allez, Henrik, tu recommences quand tu veux. Et je promets de me mettre au golf. Tu pourras même être mon professeur si tu le veux bien.
Ce n'est pas faute de le dire ou de l'écrire. Le constat n'est pas nouveau mais pour une fois il apparaît noir sur
blanc dans un des magazines sportifs les plus lus de France et de Navarre. Il est publié dans le courrier des lecteurs de L'Equipe Magazine, daté du 22 mars, une rubrique lue par des milliers de
pratiquants et autres fans de sports en tout genre... Le voici tel que rédigé par Vincent Jeanton :
"Devant le remarquable film Harvey Milk, le week-end dernier, j'ai pensé à votre article sur le jeune plongeur australien Matthew Mitcham (L'Equipe Magazine du 7
mars). Milk, premier homme ouvertement gay élu aux Etats-Unis, en 1977. Mitcham, premier homme ouvertement gay champion olympique en 2008. Trente et un ans entre ces deux dates et ce sentiment
que le monde sportif est toujours en retard et continue de vivre sous une chape de plomb, même si les femmes sont plus courageuses que les hommes (Martina Navratilova, Amélie Mauresmo...). Il est
tout de même étrange qu'aucun joueur de L1, du Top 14, du circuit ATP, qu'aucun coureur cycliste ou pilote de Formule 1 ne puisse dire ce qu'il est sous peine... Sous peine de quoi d'ailleurs ?
Je me souviens de Mark Tewksbury, champion olympique du 100 m dos à Barcelone, qui avait annoncé quelques années plus tard qu'il était gay et qui avait perdu tous ses contrats publicitaires. On
en est sans doute encore là dans le sport... En politique, les choses ont heureusement mieux évolué."
Y a-t-il autre chose à ajouter ? Tout est dit, redit. Cette piqûre de rappel ne produira sans doute aucun effet dans le sport de haut niveau mis en cause (?) mais elle a le mérite d'exister
et d'être parue dans la bible du sport tirée à plus de 400000 exemplaires...
Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire qui a vu 2 jeunes étudiants américains renvoyés de leur équipe universitaire de lutte du Nebraska l'an passé
pour avoir posé nu sur le site porno gay Fratmen.tv.
Après la découverte inopinée de photos et vidéos les montrant en pleine action, les sportifs s'étaient vus reprocher une violation du réglement interdisant aux étudiants toute
apparition commerciale sans l'autorisation préalable de la direction de l'Université...
Si Kenny Jordan a définitivement abandonné son sport de combat (peut-être pour mieux se consacrer à sa nouvelle passion ?!), son pote Paul Donahoe a, lui, fait un beau pied de nez à ses
anciens dirigeants puisqu'il vient, le week-end dernier, de remporter le tournoi de l'Eastern Wrestling League sous les couleurs de sa nouvelle université à Edinboro, Pennsylvanie.
Satisfait de son nouveau poulain, Bruce Baumgartner, responsable sportif de l'équipe de lutte d'Edinboro, a déclaré, parlant de Paul Donahoe, : "Les gens font tous des erreurs... J'ai
pensé qu'il méritait une deuxième chance." Visiblement il ne regrette pas son choix, nous non plus.
Pour connaître ce que l'Université du Nebraska entend par apparition commerciale, il suffit d'aller voir ici et là !
Ce samedi 7 mars 2009 est le jour de Matthew Mitcham. Ici et là-bas. Ici parce que l'Equipe Magazine, supplément au quotidien sportif, lui consacre aujourd'hui une double page. Là-bas, en Australie, parce que le champion olympique de
Pékin est à la fête en cette dernière journée du Mardi Gras, le festival gay et lesbien de Sydney. 31ème du nom qui avait débuté le 15 février par le Fair Day, un grand rassemblement (sous la forme d'un
pique-nique) de la communauté homosexuelle de l'île-continent. Matthew Mitcham y était presque incognito avec son compagnon, Lachlan Fletcher (photo de gauche). Et ce soir*, ce samedi soir, dans
la nuit australienne il ouvrait en chef de parade, en invité d'honneur (photo de droite), la grande cavalcade du Mardi Gras qui clôture traditionnellement ces 3 semaines de
fêtes...
* Le décalage horaire est de 10h00' (d'avance) avec Paris.
Non, pas Quentin Mosimann, le vainqueur de la Star'Ac 2007 qui essayait lui de ressembler à quelque chose, à
défaut d'être quelqu'un... Non, juste le petit Quentin Lemonnier, ex-Star'Ac 2008, souvenez-vous, le jeune (17 ans) adulescent prépubère ! Qui a dit "Celui qui n'est pas fini" ?
Oui, le Quentin, au faux air de gavroche, le chouchou des profs... Comme pour beaucoup de ses congénères de la télé-réalité, son soufflé est retombé plus vite qu'il n'était monté. Alors
pour continuer à exister il lui faut penser recyclage. Et voilà que 2 vidéastes amateurs commençant à avoir une petite notoriété lui ont proposé un petit rôle dans la mini-série qu'ils tournent
actuellement : "Carton Rose"... Pierre Cherrier et Laurent Richier sont les auteurs d'une mini-fiction en noir et blanc qu'on pourrait voir prochainement sur Canal + (ou à défaut sur
TF1, via la société de production Be Aware appartenant à S. Cauet). Un carton d'invitation donné à d'anciens candidats de la télé-réalité pour leur faire faire leurs premiers pas d'acteur face à
Laurent Richier dans des courts-métrages résumant un moment de la vie quotidienne de tout un chacun... Après Joanna (elle aussi ex-Star'Ac 8) qui joue une prostitué, après Houcine (Star'Ac
2ème saison) en dealer et avant Mickels (vainqueur de la Star'Ac 8) en SDF, il y a donc Quentin en serveur... gay ! Un rôle "qui n'a pas été un problème pour moi, à vrai
dire, je ne me suis même pas posé la question. Jouer un rôle, c'est comme interpréter une chanson, il faut vraiment essayer de ressentir ce qu'on dit, c'est tout..." Et visiblement Quentin a
ressenti quelque chose, à voir ici.
Pour info, parmi les prochains invités figurent Magali Vaé (Star'Ac 5) en clocharde et d'autres célébrités
comme Jean-Luc Reichman (qu'on ne présente plus) ou encore Olivier Lejeune (ex-La Classe) qui pourrait endosser le rôle d'un... homosexuel. Encore un !
Il fallait oser, il l'a fait... Enfin il n'est pas le seul à l'avoir fait, et encore lui se
contente de ne montrer qu'un torse costaud loin des canons de beauté, normes des calendriers habituellement mis à la vente pour les bonnes causes. Ils sont chaque année des dizaines à poser plus
ou moins vêtus, plus ou moins célèbres. On passera sur le cas les stars du rugby et du football, aux corps musclés, taille mannequin, pour retenir celui inattendu de Jean-Paul Cluzel, par
ailleurs PDG de Radio-France, homme discret qui ose !
Haut fonctionnaire, ex-administrateur de l'Opéra de Paris, celui qui se sent aussi bien dans le bain médiatique que dans les hautes sphères politiques a accepté d'apporter son soutien à
Act-Up et de poser pour son calendrier 2009. Grimmé en catcheur il illustre le mois de mars en posant
avec son compagnon "au nom de la diversité et de l'affirmation de quelques convictions bien ancrées".
La photographie est l'oeuvre de Vincent Malléa qui a travaillé en partenariat avec
Abraxas.
Pour en revenir à Jean-Paul Cluzel, 61ans et homosexuel notoire, et à sa prestation très commentée au sein de la maison ronde de Radio-France, ils n'ont reçu que des éloges. Le
courage, le culot de l'homme public dépasse de loin l'exhibition narcissique des sportifs cités ci-dessus !
Depuis qu'en octobre dernier Guy Ritchie avait été prié d'aller butiner ailleurs (on dit qu'il regardait tout autant que Madonna les amants potentiels de
celle-ci !), on pensait que Louise Croqueuse d'hommes Ciccone s'était rangée des écarts sexuels qui avaient jusque-là jalonné sa carrière vie sentimentale. Il n'en est rien. Fidèle à sa réputation, elle n'est pas restée très longtemps inactive sur ce plan érotico-sexuel et amoureux
qu'elle affectionne tant.
Un beau mannequin brésilien, répondant au nom à peine provocateur de Jesus Luz et lui ayant servi de partenaire pour une série de photos publiée par le magazine W, a donc succombé aux charmes dévastateurs de Madonna, à moins que cela ne
soit l'inverse, quand on sait que l'heureux élu est agé de... 22 ans. Maman ! La cinquantaine pétillante de Miss Ciccone n'a semble-t-il fait qu'une bouchée du modèle latino-américain. Il
faut dire que Jesus Luz n'a rien caché à Madonna, pas même à l'objectif du photographe Steven Klein.
Comment, après cela, ne pas tomber sous le charme du Brésilien ? Ainsi l'équipe de la tournée sud-américaine s'est agrandie d'un membre (!), Monsieur Lumière accompagnant la star mondiale
sur les ultimes dates du Sticky and Sweet Tour. Une romance qui perdure puisque la chanteuse a été depuis aperçue à plusieurs reprises au bras de son nouveau chevalier servant. Madonna lui aurait
même permis de décrocher un contrat avec la célèbre agence de mannequins Ford Models, laquelle (on ne le sait que trop bien) ne référence que les plus beaux hommes de la planète ! Alors avant que
Jesus Luz ne soit dévoré totalement par la Madone... A vous de juger !
Il vous dit que Non ! Pas la peine d'insister. Ce n'est pas parce qu'un
certain nombre de danseurs étoiles sont (ou étaient) homosexuels (merci à Rudolf Nureyev et Patrick Dupont) que tous les autres même moins célèbres le sont.
Le natif de Casale Monferrato (Piémont italien), 33 ans, dit avoir été mal compris trompé par le magazine français Numéro Homme
qui aurait déformé ses propos. Une interview sans équivoque dans laquelle il disait pourtant être gay et parlait sans sous-entendu de sa vie, de ses envies de famille, sa seule crainte étant que
son homosexualité ternisse son image (sa réputation, sa carrière ?) dans une Italie très catholique.
Aujourd'hui, Roberto Bolle se défend, une nouvelle fois, d'avoir tenu les propos qui lui sont
prêtés, tout en prenant bien soin de renouveler toute sa sympathie aux homosexuel(le)s. Et les rumeurs persistantes sur sa sexualité ne seraient que mensonges...
On voudrait bien le croire mais cette façon particulièrement médiatique et malhabile de nier les faits, ses dires, ne l'aide pas à se sortir du gay-pied guêpier dans lequel il s'est lui-même fourré ! Peut-être peut-on juste se permettre de lui conseiller pour une prochaine fois de tourner sa langue
sept fois dans sa bouche (?!) avant de répondre à un journaliste. Et de privilégier sa langue maternelle au français qu'il dit parler approximativement, d'où (selon lui) le quiproquo qui en a
fait à jamais un danseur étoile gay !... Quoi qu'il en soit, gay ou pas gay, Roberto Bolle, qui sera présent (donc visible !) l'été prochain au festival Musicastelle en Val d'Aoste, ne
laisse pas indifférent la communauté homosexuelle transalpine. Pour le vérifier il suffit de cliquer sur la photo ci-contre !
J'avais déjà évoqué ici, il y a 6 mois,
la première mise au point faite par l'ex-nageur australien qui avait voulu faire taire les tabloïds et autres magazines people l'ayant outé sans pour autant apporter des preuves concrètes sur
leurs dires, leurs écrits. "Je suis amoureux et nous vivons notre amour loin de l'Australie..."
Après quelques mois de calme voici que la rumeur enfle à nouveau : Ian Thorpe, dont vous verrez là qu'il a bien changé depuis qu'il a abandonné les longueurs de bassin,
s'affiche sans complexe (?) avec son ex-housemate (colocataire) avec qui il a passé les fêtes de fin d'année au Brésil dans la famille de celui-ci. Les 2 hommes, qui ont cohabité pendant
3 ans, ne se quittent plus, à l'instar du couple hollywoodien d'amis Wentworth Miller et Luke McFarlane. Inséparables !... J'oubliais de préciser : l'heureux élu le camarade de jeu de Ian Thorpe est un nageur brésilien identifié comme étant Daniel Mendes (le beau brun à droite sur la photo). Bain de
soleil, surf, natation, plongeon, etc. Ils ont tout partagé pendant près d'un mois sur les plages de Fernando de Noronha, Brésil, comme ils l'avaient fait auparavant des années durant à Sydney où
tout 2 suivaient les entraînements dirigés par Tracey Menzies...
Loin d'arranger les choses pour son client, David Flaskas, manager de l'Australien, a déclaré que Ian Thorpe et Daniel Mendes avaient effectivement passé un long mois ensemble dans la
famille du Brésilien après être allés quelques jours chez les parents Thorpe. Et que ces vacances étaient les deuxièmes en un an que le champion olympique passait avec le Sud-Américain !... Lundi
dernier le couple est rentré à Sydney où Thorpedo (la Thorpille !) doit se préparer à reprendre ses études universitaires en psychologie et en langues tandis que Daniel Mendes
poursuit, de son coté, des études en business. Restera-t-il en Australie une fois diplômé ? Rentre-t-il au Brésil pour travailler dans la firme que dirige son père ? Ou ira-t-il continuer ses
études (ou bosser) aux Etats-Unis là où Ian Thorpe possède une maison, comme semble le lui avoir suggèré l'ex-nageur australien ?
Alors qu'on lui remémorait récemment les sorties en public qu'il a faites avec Daniel Mendes (finale 2007 de l'Australia Next Top Model et MTV Awards 2008), Ian Thorpe s'est senti
obligé de rappeler que les rumeurs colportées par les uns et les autres étaient sans fondement, qu'elles étaient mal vécues tant par sa famille que par lui-même ! Et qu'il souhaitait de tous un
respect de sa vie privée... Après s'être affiché par le passé quelques temps à plusieurs reprises avec 2 jolies filles, Amanda Beard et Lee
Furlong, que le plus grand champion australien de tous les temps fréquente de beaux garçons, ou même un seul, Daniel Mendes, ne doit pas en faire pour autant un homme qui se cherche. Gay ? Peu
importe. Bisexuel ? Plus sûrement ? Qu'importe. "J'ai toujours eu de nombreux amis avec qui j'ai tout partagé. Daniel en fait partie."