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Mon web à moi, ma vie... Mes envies, mes amours, mes humeurs, mes emmerdes et vous !

9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 19:21
Le but du jeu ? Devenir Président de la République puis rencontrer et/ou féliciter le plus possible de Chefs d'Etats pourtant jugés infréquentables par les dirigeants de pays autrement plus démocratiques...

georgewbush-copie-1.jpghujintao.jpghugochavez.jpgvladimirpoutine-copie-1.jpgmouamarkadhafi.jpg

2ème possibilité d'énigme, quel est le point commun entre ces 5 là ?
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9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 00:20

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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 19:24
  En août dernier Yelle avait repris la chanson "A cause des garçons" du groupe du même nom, à revoir ici, l'original d'ACDG et la version yellienne. Paroles et musique du duo Grillet & Chamfort (1988 !)... Comme tous les succès repris, revus et corrigés à la sauce des rythmes d'aujourd'hui, la version 2007 n'a pas échappée à une "tecktonisation" opérée par des spécialistes de la nouvelle danse urbaine. Alors que le clip du Crew Tecktonik fait actuellement un tabac sur le Net auprès des jeunes clubbers cherchant à acquérir la gestuelle "qu'il faut avoir", voilà que débarque une énième version (espérons ultime !), parodique, interprétée par CONSonne voYELLE et signée Je-me-la-régale Production. Des paroles modifiées pour la circonstance avec un soupçon de moquerie envers les pros de la tecktonik et une certaine gay-(at)titude... C'est loin d'être du meilleur goût mais une chose est sûre : ça leur passera à tous.
  Parions que cette mode sera oubliée d'ici quelques mois, un an au plus, au pire !

 
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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 09:58
Adaption d'un roman de Michael Downing, le long-métrage de Laurie Lynd (qui avait réalisé auparavant plusieurs épisodes de la série "Queer as folk") est actuellement sur les écrans canadiens, nul doute qu'il devrait prochainement traverser l'Atlantique et connaître ici un succès d'estime aussi important que ces prédécesseurs "Le déclin de l'empire américain", "Les invasions barbares" ou le plus récent "C.R.A.Z.Y."...

"L'homosexualité dans le milieu du sport professionnel, et surtout les sports d'équipe, représente un sujet tabou, parfois plus embarrassant que la toxicomanie ; combien de sportifs de salon s'imaginent encore que tous les patineurs artistiques «en sont» et que les hockeyeurs, eux, ne mangent pas de ce pain-là...
Voilà un des mythes que tente de démolir le cinéaste canadien Laurie Lynd, qui ne manque pas de culot en égratignant la carapace virile de notre sport national, le hockey, ou névrose collective, selon les performances du Canadien de Montréal. Dans "Breakfast with Scot", Eric (Tom Cavanagh) patine fort, et depuis longtemps, pour afficher, sur la glace ou à la télévision, l'air d'un tyran casqué ou d'un commentateur redoutable. Ancienne vedette des Maple Leafs de Toronto, il est reconnu tant pour ses coups de poings que pour ces coups de patins. Sa conversion télévisuelle semble l'obliger à continuer sa mascarade hétérosexuelle, même aux côtés de son avocat, Ben (Ben Shenkman), qui est surtout son conjoint.

breakfastwithscott.jpg

L'illusion sera plus difficile à maintenir lorsque Scot (Noah Bernett, une bouille inimitable et un sans-gêne amusant) va débarquer dans leur existence. Ce garçon de 11 ans a récemment perdu sa mère dans des circonstances tragiques et le père, le frère de Ben, n'a guère le temps de porter le deuil sous le soleil de Rio. Le plus réfractaire à cette paternité imposée est bien sûr Eric, d'autant plus que Scot représente tout ce à quoi il refuse d'être associé depuis l'enfance : efféminé, souffre-douleur à l'école, aucune aptitude sportive, amateur de comédies musicales et, insulte suprême, il ignore totalement qui est Wayne Gretzky. Sensible et clairvoyant derrière ses extravagances vestimentaires et ses performances vocales -- il est un «musical» à lui tout seul! --, Scot va avoir le culot d'enfiler une paire de patins et de prendre un bâton de hockey pour se faire accepter. Mais la glace est mince pour celui qui cultive sa différence au point d'avoir laissé tomber le deuxième «t» de son prénom.
Le délicieux souvenir de "Ma vie en rose" refait souvent surface devant "Breakfast with Scot". Les deux films traitent du même sujet, mais le cinéaste belge Alain Berliner était parfaitement en phase avec l'excentricité du personnage, le garçon ne faisant pas que s'habiller en fille : son univers devenait celui d'une maison de poupée construite par un émule de Magritte. L'approche de Laurie Lynd, nettement plus consensuelle, expose le «problème» avec de rares touches fantaisistes, visiblement contaminé par le personnage d'Eric et sa manière carrée de voir la réalité. Cela se reflète dans le caractère tristement pudique de la relation du couple -- même les téléromans de Guy Fournier étaient plus osés... --, trop souvent de simples colocataires, tandis que les scènes d'aréna semblent plus excitantes que les séances de maquillage.
On comprend mieux pourquoi la haute direction des Maple Leafs de Toronto ne fut pas hostile à l'idée de donner son accord pour reproduire son sigle dans "Breakfast with Scot", une première pour un film au thème gay. Non seulement cette comédie effectue bien des pirouettes pour se donner des allures plus familiales que subversives, mais le hockey devient le palais de glace des homosexuels incompris. D'un point de vue canadien, c'est plutôt révolutionnaire, admettons-le."
Source : André Lavoie, LeDevoir.com
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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 00:30
  Le concierge... Un court-métrage d'Etienne Kallos présente au 2007 Sundance Film Festival. Pour en savoir plus c'est ici... Pour voir "Doorman" cliquer ci-dessous.


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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 00:15
tireruncoup.jpg  "The Gift" est un documentaire polémique de Louise Hogarth sur le phénomène des "bug-chasers" (les chasseurs d'infections), ces personnes qui pratiquent un sexe sans aucune protection avec les séropositifs pour se transmettre délibérément le virus du Sida. Le film suit un groupe d'homosexuels américains qui cherchent à devenir VIH positifs. D'un autre côté, il montre les "gift-givers" (ou les "donateurs") qui se sachant séropositifs se proposent de transmettre le virus aux "volontaires".
Les raisons évoquées par les "bug-chasers" vont du désir (étrange ?) d'appartenir à une certaine caste de la communauté gay ("celle qui est séropositive") à la simple (?) envie d'être semblables à leurs meilleurs amis, leurs amants ou leurs idoles. L'un des garçons interviewé dans le film explique aussi combien il se sent libéré d'être enfin infecté par le virus : terminée la peur constante d'être contaminé, plus besoin de se préoccuper de l'utilisation de la capote anglaise (en ignorant volontairement ou non l'éventualité de la contamination d'autres MST/IST).
Et que dirent des "gift-givers" et des raisons avancées pour s'autoriser un tel comportement...
La réalisatrice a promené sa caméra dans des fêtes privées célébrant un sexe sans protection. Elle a tendu son micro à des séropositifs et à des hommes sains qui désirent contracter la maladie. À la manière du jeu "de la roulette russe", disent certains.
Bien que circonstances et causes soient comparables par le coté "autodestructeur" il n'y a là rien qui puisse associer cette expérience à la récente augmentation de la pratique inconsciente du barebacking. Aujourd'hui, par ignorance, la maladie n'est plus perçue comme mortelle. Homosexuels comme hétérosexuels ont relâché leur vigilance et veulent (re)découvrir le plaisir du sexe sans preservatif. Une disparition de la notion de danger accentuée que certaines associations mettent sur le dos de médecins et autres experts que auraient tendance à considèrer maintenant l'infection VIH et le Sida comme une maladie chronique en raison des avancées médicales et dans les traitements individualisés...
Le documentaire est à l'origine d'un débat houleux dans la communauté gay aux États-Unis où il a néanmoins été intégré dans les programmes de prévention.

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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 16:55
 
Advertising. Elle mérite largement sa place dans la prochaine Nuit des Publivores, isn't-it ! Qu'en pensez-vous ?


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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 09:44
  Rémi Gaillard continue à faire des siennes pour le plaisir du plus grand nombre... 7 ans déjà que cela dure... Son but : faire n'importe quoi et ne pas le faire à moitié. Les médias, la communication, les grandes marques dont Nike (le 1er spot publicitaire, à gauche, un plus récent à droite) se sont emparés du phénomène et en jouent... Aujourd'hui, et comme toujours en cas de succès, l'ex-chômeur (à Montpellier) n'est plus le seul sur le créneau : ça a la couleur de l'alcool, ça a le gôut de l'alcool... mais ce n'est pas du Rémi Gaillard !

 

Retrouvez les séquences originales du Montpelliérain (monté à Paris !) sur Nimportequi.com !
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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 08:29
  L'auteur du récent "Paranoïd Park" se prépare à débuter le mois prochain un nouveau film "Milk" qui retracera la vie de Harvey Milk, une figure de la communauté homosexuelle américaine. Il fût l'un des premiers hommes politiques à parler ouvertement de son homosexualité. Elu conseiller municipal à San Francisco en 1977 il a été assassiné par un de ses collègues 11 mois plus tard. Il avait passé son mandat à combattre l'homophobie des politiques américains en demandant l'égalité des droits pour les LGBT. Il s'était également opposé à la célèbre Proposition 6 du sénateur John Briggs qui devait autoriser le licenciement des enseignants homosexuels... Le film devrait aussi évoquer l'après 27 novembre 1978, date de l'assassinat de Harvey Milk par Dan White, et le procès. Le meurtrier ayant été acquitté car jugé irresponsable de ses actes... Pour excès de sucreries !

seanpenn.jpg  emilehirsch.jpg jamesfranco.jpg  joshbrolin.jpg

Parmi tous les acteurs retenus par Gus Van Sant pour le film, une belle brochette de beaux garçons : Sean Penn (qui interprétera Harvey Milk) , Emile Hirsch, James Franco et Josh Brolin (qui jouera le rôle de l'assassin, à la place de Matt Damon qui a finalement décliné l'offre du réalisateur).
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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 23:11
Honte à l'Iran, honte aux dirigeants politiques iraniens, honte aux ayatollahs et autres religieux iraniens...

"L'International Gay and Lesbian Human Rights Commission (IGLHRC) a annoncé que le jeune homme de 21 ans qui avait échappé à son exécution il y a dix jours a finalement été pendu.
Le 15 novembre, le plus haut responsable de la justice iranienne avait suspendu l'exécution de Makvan Moloudzadeh et ordonné un nouveau procès.
Makwan Moloudzadeh, aujourd'hui âgé de 21 ans, avait été condamné à mort le 1er août dernier après avoir été jugé coupable du "viol d'un garçon" de 13 ans, l'âge qu'il avait lui-même au moment des faits.
Il aurait confessé sous la torture des relations sexuelles remontant à 1999, alors qu'il était encore mineur et cette circonstance aurait dû exclure sa responsabilité pénale selon le code pénal iranien.
Devant la forte mobilisation internationale, l'Ayatollah en Chef de la Justice iranienne, Seyed Mahmoud Hashemi Shahrudi, avait ordonné un sursis, indiquant même dans son jugement que la peine de mort constitue une violation de des enseignements islamiques, des décrets des religieux chiites et de la loi même.
Une première en Iran qui avait été saluée comme "un symbole du pouvoir de la mobilisation" par Paula Ettelbrick, la directrice exécutive de l'IGLHRC (International Gay and Lesbian Human Rights Commission).
Toutefois, Makwan Moloudzadeh était resté en prison et son cas avait été renvoyé à un réexamen par une autre instance judiciaire. Son sort continuait d'inquiéter les organisations de défense des droits humains LGBT qui avaient rappelé que la loi iranienne punit les relations homosexuelles de peines allant de la flagellation pour les mineurs à la pendaison pour les adultes.
Le cas de Makwan Moloudzadeh a été réexaminé par le Bureau spécial de supervision du Ministère de la Justice iranienne, une instance composée de juges désignés pour la révision des jugements ordonnés par l'Ayatollah en Chef de la Justice. Ces juges ont ratifié le jugement initial qui ordonnait la peine de mort et demandé son exécution.
Le jeune homme a été pendu à 5 heures du matin à la prison centrale de Kermanshah, mercredi. Son avocat et sa famille n'ont été informé du jugement qu'après l'exécution, a précisé l'International Gay and Lesbian Human Rights Commission dans un communiqué.
"C'est une parodie honteuse de justice", a déploré Paula Ettelbrick pour l'IGLHRC. "Combien de jeunes iraniens vont encore devoir mourir avant que la communauté internationale réagisse?", a-t-elle ajouté."

Honte également à tout ceux qui dans nos démocraties occidentales pour des raisons politiques et économiques acceptent de recevoir "diplomatiquement" les dirigeants iraniens comme si de rien n'était !
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