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Mon web à moi, ma vie... Mes envies, mes amours, mes humeurs, mes emmerdes et vous !

26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 19:19
  "Deux jeunes hommes d'une vingtaine d'années soupçonnés d'avoir agressé et grièvement blessé un homosexuel de 50 ans dans un square de Brive-la-Gaillarde, ont été mis en examen mardi soir à Tulle, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Brive. La victime, transportée au CHU de Limoges, a été placée en coma artificiel et son état était jugé grave mercredi, selon le procureur Edmond Bisiaux. Les agresseurs présumés ont été mis en examen pour "violences en réunion à caractère homophobe". Celui qui a porté les coups les plus violents à la victime a été écroué à la maison d'arrêt de Tulle tandis que son complice a été placé sous contrôle judiciaire. Les deux jeunes gens s'étaient rendus dimanche soir dans un jardin public, habituel rendez-vous de la communauté gay de Brive-la-Gaillarde, "dans l'intention avouée de s'en prendre à l'un de leurs représentants", a expliqué le procureur. Après avoir déversé un flot d'injures à caractère homophobe, les agresseurs auraient passé à tabac le quinquagénaire. Sous les coups, la victime a heurté un banc et le choc l'a assommée. Les agresseurs encourent jusqu'à cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende." France 3.

  "Deux jeunes de 16 ans sont jugés ce jeudi, à huis clos devant la cour d'assises des mineurs de Meurthe-et-Moselle, pour le meurtre d'un restaurateur nancéien de 63 ans, en août 2003.
Jean-Pierre Humblot était un homme bien connu dans le secteur fréquenté par les homosexuels de Nancy. Un homme excentrique qui portait souvent un grand chapeau, un sac à main et des boas autour du cou.
Le soir des faits, les deux meurtriers présumés l'aurait repéré et l'aurait poussé dans le canal. Mais le sexagénaire ne savait pas nager et s'est noyé sous les yeux des ses agresseurs.
Les accusés, qui ont reconnu les faits, comparaissent pour "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". La justice a également retenu le caractère homophobe de ce crime. Ils risquent donc 10 ans de prison si l'excuse de minorité est retenue, et jusqu'à 20 ans dans le cas contraire.
L'été 2003 a été marqué par une vague de violence homophobe à Nancy. Une bande de jeunes venait régulièrement s'en prendre aux hommes se trouvant près du canal. C'est en recoupant les témoignages des victimes que les enquêteurs ont pu identifier les deux adolescents qui sont également jugés pour des agressions sur quatre autres homosexuels. Le verdict est attendu lundi prochain." M6.

  Ce soir, sur France 3, pour illustrer le problème de l'homophobie la chaîne publique a diffusé dans son "19-20" un reportage tourné dans une banlieue où il est difficile de vivre son homosexualité au quotidien. L'exemple est donné par un couple franco-maghrébin qui pour éviter la raillerie des habitants de la cité vit aujourd'hui séparé géographiquement, une histoire d'amour à distance : mieux vaut ne pas se montrer !... Pour illustrer l'incompréhension (?) des jeunes de banlieue vis-à-vis de l'homosexualité on interroge des lycéens en classe alors qu'ils écoutent l'exposé de militants d'associations LGBT. On a droit alors à tous les poncifs sur le sujet et notamment "c'est contre la religion !", "2 hommes ensemble c'est contre-nature !", "la sodomie c'est une faute !"... Ah, oui ? C'est nouveau ça !? Et tous ces jeunes, adolescents et pas encore adultes, qui découvrent la sexualité, comment font-ils l'amour ? Avec qui ? Il est de notoriété publique, pas seulement dans la cité, au contraire, bien au-delà, qu'ils ont des pratiques que leur morale (affichée devant la caméra) réprouve ! Sans aller jusqu'à les mettre tous dans le même sac au sujet des "tournantes", combien sont-ils à pratiquer la sodomie avec leur "petite amie" sous prétexte que la jeune fille doit arriver vierge au mariage ? Combien sont-ils, ces "jeunes hommes", à se réfugier, en couple, en groupe, dans les caves pour assouvir leur libido entre eux, entre garçons ? Certainement plus nombreux, beaucoup plus, qu'ils ne veulent bien le dire, l'avouer ! Aussi nombreux qu'ils sont à "casser du PD" tout en ayant des pratiques homosexuelles cachées ! Mais ça, chut !, il ne faut pas le dire non plus !...
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commentaires

B
C'est dur de lire ça le matin au réveil... mais il faut regarder la réalité en face. Et perso je trouve que la loi est très clémente par rapport à la crime !<br />  
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