28 novembre 2006
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21:48
* D'après le titre d'un film de Jean Delannoy avec le comédien (1961)
Je n'avais pas prévu de venir ici aujourd'hui, mais ce soir au cours d'une conversation sur WLM un ami s'est étonné que je n'aie pas évoqué sur mon blog la disparition récente de Philippe Noiret. Même si j'ai ressenti étonnement et tristesse à l'annonce de son départ pour le paradis des acteurs (je ne le savais pas malade) je n'avais pas prévu de publier quoi que ce soit sur le sujet sachant que nombreux étaient ceux qui allaient réagir dans la presse écrite, radio ou télé, sur le Net au travers des blogs et autres forums. Pourquoi rajouter un mot, mon mot, à tout ce qui a été dit ou écrit, ça ne serait que répèter ce que vous avez déjà lu et entendu cent fois, mille fois depuis une semaine, aujourd'hui encore alors que ses proches, sa famille, son public et les professionnels du cinéma lui rendaient un dernier hommage...
Je ne pourrais pas vous dire avec exactitude quand je l'ai vu à l'écran pour la première fois, peut-être dans "Le vieux fusil" ou "Un taxi mauve", c'était il y a bien longtemps (mon ami vous dirait que je suis vieux !). Un rôle si dramatique qu'il m'a fallu des années avant que je ne comprenne qu'il pouvait aussi jouer la comédie...
Là où il est, quoi qu'il fasse, je voudrais juste dire à Philippe Noiret que les hommes passent, les comédiens restent. Grâce à la magie du 7ème Art il continuera à me faire rire et à me faire pleurer. C'est sans doute cela le cinéma... Paradiso !
NB. Le petit mot (à droite) a été laissé par Philippe Noiret sur le livre d'or de l'Hôtel Métropole à Bruxelles.
Je n'avais pas prévu de venir ici aujourd'hui, mais ce soir au cours d'une conversation sur WLM un ami s'est étonné que je n'aie pas évoqué sur mon blog la disparition récente de Philippe Noiret. Même si j'ai ressenti étonnement et tristesse à l'annonce de son départ pour le paradis des acteurs (je ne le savais pas malade) je n'avais pas prévu de publier quoi que ce soit sur le sujet sachant que nombreux étaient ceux qui allaient réagir dans la presse écrite, radio ou télé, sur le Net au travers des blogs et autres forums. Pourquoi rajouter un mot, mon mot, à tout ce qui a été dit ou écrit, ça ne serait que répèter ce que vous avez déjà lu et entendu cent fois, mille fois depuis une semaine, aujourd'hui encore alors que ses proches, sa famille, son public et les professionnels du cinéma lui rendaient un dernier hommage...
Je ne pourrais pas vous dire avec exactitude quand je l'ai vu à l'écran pour la première fois, peut-être dans "Le vieux fusil" ou "Un taxi mauve", c'était il y a bien longtemps (mon ami vous dirait que je suis vieux !). Un rôle si dramatique qu'il m'a fallu des années avant que je ne comprenne qu'il pouvait aussi jouer la comédie...
Là où il est, quoi qu'il fasse, je voudrais juste dire à Philippe Noiret que les hommes passent, les comédiens restent. Grâce à la magie du 7ème Art il continuera à me faire rire et à me faire pleurer. C'est sans doute cela le cinéma... Paradiso !
NB. Le petit mot (à droite) a été laissé par Philippe Noiret sur le livre d'or de l'Hôtel Métropole à Bruxelles.