26 juin 2006
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Sûr que tout n'a pas été tout blanc, mais tout n'a pas été gris, encore moins noir... Il ne faut pas oublier qu'une ville est faite d'asphalte et de béton ! Blague à part, je ne me suis pas ennuyé. L'avantage de ne pas y vivre c'est celui d'y voir du neuf à chaque fois que j'y vais, c'est aussi d'y retrouver de bons moments que je n'ai pas ici dans ma petite ville de province. L'exemple le plus flagrant celui de la Fête de la Musique : rien à voir avec ce qui s'organise difficilement chez moi. Après l'avoir vécue dans le XIIIème l'an passé je suis allé rive droite cette année : comme la marche ne me fait pas peur, je l'ai commencée sur les Champs (électro avec FG chez Virgin), j'ai continué par le Palais Royal (soirée francophone) et l'Hôtel de Ville (rock) pour finir par la Rue des Archives. Oui, le Marais ! J'entends là les connaisseurs. Le Cox voit toujours les choses en grand et ce sont les voisins, coucou l'Open Café (je n'oublie pas le Cactus et les Marronniers) qui en profitent. C'est gai, trés gay mais tout le monde est le bien venu. Et visiblement, au vu des embarras parisiens du quartier, la foule l'avait bien compris... Ce qui ne m'a moins plu (et je ne suis pas le seul), c'est la pluie fine qui a gâché la soirée. Ne l'ayant pas vu arriver vous imaginez facilement l'état du promeneur après quelques heures à arpenter la capitale. Douché !Partager cet article
