11 avril 2006
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..."To be ou not to be..." s'exclamait Hamlet au commencement de son monologue. J'aurais pu aussi emprunter à la presse le titre "Homosexualité et (in)discrétion".
Quel ridicule (avis trés personnel) que d'avoir voulu faire condamner un magazine (L'Expansion, pour ne pas le citer !) au titre qu'il avait évoqué dernièrement (et de façon indirecte) la sexualité de 2 animateurs TV connus, non seulement pour leurs émissions à forte audience, mais aussi pour leur penchant (?) à aimer les personnes de leur sexe. Le fait de nommer S.B. et M.O.F. (pour ne pas les citer - bis !) dans un article sur les réseaux d'influence homosexuelle est-il une réelle atteinte à la vie privée dès lors que ces 2 personnes publiques (?) ont déjà ouvertement révèlé leur orientation sexuelle au travers d'autres articles de presse ou d'interviews dans des émissions de télévision, même si (et je le reconnais) elles ont effectivement toujours fait le choix de préserver leur vie privée (quoique...*) ? Comment interpréter ces plaintes examinées récemment par le TGI de Paris si ce n'est un moyen (et une volonté ?) de se faire de l'argent facile (un peu... beaucoup...) sur le dos de la presse qui est pourtant un de leurs principaux partenaires professionnels... La comparaison est peut-être simpliste mais cela me fait penser aux affaires qui (devant les tribunaux) opposent régulièrement une princesse (sur son rocher) et la presse dite "à scandales"...
C'est l'éternelle question de la limite entre la vie publique et la vie privée. Où est-elle ?... C'est aussi la question de savoir ce que l'on est, qui l'on est, et de se reconnaître comme tel ? To be gay or not be homo...
* N'ont-ils pas été l'un et l'autre (régulièrement) vus "accompagnés de leur partenaire respectif" dans des soirées publiques ?
Quel ridicule (avis trés personnel) que d'avoir voulu faire condamner un magazine (L'Expansion, pour ne pas le citer !) au titre qu'il avait évoqué dernièrement (et de façon indirecte) la sexualité de 2 animateurs TV connus, non seulement pour leurs émissions à forte audience, mais aussi pour leur penchant (?) à aimer les personnes de leur sexe. Le fait de nommer S.B. et M.O.F. (pour ne pas les citer - bis !) dans un article sur les réseaux d'influence homosexuelle est-il une réelle atteinte à la vie privée dès lors que ces 2 personnes publiques (?) ont déjà ouvertement révèlé leur orientation sexuelle au travers d'autres articles de presse ou d'interviews dans des émissions de télévision, même si (et je le reconnais) elles ont effectivement toujours fait le choix de préserver leur vie privée (quoique...*) ? Comment interpréter ces plaintes examinées récemment par le TGI de Paris si ce n'est un moyen (et une volonté ?) de se faire de l'argent facile (un peu... beaucoup...) sur le dos de la presse qui est pourtant un de leurs principaux partenaires professionnels... La comparaison est peut-être simpliste mais cela me fait penser aux affaires qui (devant les tribunaux) opposent régulièrement une princesse (sur son rocher) et la presse dite "à scandales"...
C'est l'éternelle question de la limite entre la vie publique et la vie privée. Où est-elle ?... C'est aussi la question de savoir ce que l'on est, qui l'on est, et de se reconnaître comme tel ? To be gay or not be homo...
* N'ont-ils pas été l'un et l'autre (régulièrement) vus "accompagnés de leur partenaire respectif" dans des soirées publiques ?