21 mai 2007
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Pour ceux qui
n'auraient pas eu la curiosité de lire la livraison quotidienne de Gayclic et d'autres articles de presse parus ce week-end sur le sujet...
J'en connais un, deux, voire trois (et même plus ?!) qui vont dire que je m'acharne contre notre Président de le République mais trop c'est trop : voilà peut-être son premier véritable faux-pas, pire que la micro-croisière offerte par un ami au lendemain de son élection... 15 jours après avoir été élu, 5 jours après son investiture, 4 jours après la nomination du Premier Ministre, 3 jours après la désignation du gouvernement d'ouverture (et la clotûte des candidatures aux Législatives), voilà que Nicolas Sarkozy et l'UMP (je me retiens de dire l'Etat UMPiste !) se distinguent à nouveau, et de quelle manière : Christian Vanneste, député sortant, est candidat à sa propre succession dans la 10ème circonscription du Nord.
Le problème est que l'an passé l'homme a été condamné pour homophobie. Que le Président de la République, à l'époque patron de l'UMP et candidat à la Présidentielle, s'était désolidarisé des propos tenus (et réitérés depuis !) par le député de Tourcoing en affirmant que celui-ci ne serait pas réinvesti par le parti. Que depuis jeudi dernier (17 mai - Journée mondiale contre l'homophobie !) Christian Vanneste est officiellement candidat CNI-UMP dans le Nord !
Il ne reste à souhaiter qu'une chose... Ou deux... Que le député sortant ne soit pas réélu. Qu'entre temps Nicolas Sarkozy (même s'il n'est plus à la tête du parti) tienne ses promesses, en retirant à Christian Vanneste le droit d'utiliser toute référence à l'UMP...
Et que le parti présidentiel investe un candidat concurrent face au député homophobe !
J'en connais un, deux, voire trois (et même plus ?!) qui vont dire que je m'acharne contre notre Président de le République mais trop c'est trop : voilà peut-être son premier véritable faux-pas, pire que la micro-croisière offerte par un ami au lendemain de son élection... 15 jours après avoir été élu, 5 jours après son investiture, 4 jours après la nomination du Premier Ministre, 3 jours après la désignation du gouvernement d'ouverture (et la clotûte des candidatures aux Législatives), voilà que Nicolas Sarkozy et l'UMP (je me retiens de dire l'Etat UMPiste !) se distinguent à nouveau, et de quelle manière : Christian Vanneste, député sortant, est candidat à sa propre succession dans la 10ème circonscription du Nord.
Le problème est que l'an passé l'homme a été condamné pour homophobie. Que le Président de la République, à l'époque patron de l'UMP et candidat à la Présidentielle, s'était désolidarisé des propos tenus (et réitérés depuis !) par le député de Tourcoing en affirmant que celui-ci ne serait pas réinvesti par le parti. Que depuis jeudi dernier (17 mai - Journée mondiale contre l'homophobie !) Christian Vanneste est officiellement candidat CNI-UMP dans le Nord !
Il ne reste à souhaiter qu'une chose... Ou deux... Que le député sortant ne soit pas réélu. Qu'entre temps Nicolas Sarkozy (même s'il n'est plus à la tête du parti) tienne ses promesses, en retirant à Christian Vanneste le droit d'utiliser toute référence à l'UMP...
Et que le parti présidentiel investe un candidat concurrent face au député homophobe !