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Mon web à moi, ma vie... Mes envies, mes amours, mes humeurs, mes emmerdes et vous !

6 février 2015 5 06 /02 /février /2015 22:08

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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 19:59

Depuis jeudi dernier, le débat fait rage (?) sur les réseaux sociaux et les 2 protagonistes s'opposent à coup d'articles et de tweets auxquels on peut ajouter les centaines de commentaires des internautes supporters de l'un ou de l'autre.

A l'origine de ce conflit, un article publié par David Perrotin sur le site d'informations en ligne Rue89.com, texte dans lequel le journaliste pose un certain nombre de questions sur l'activité de l'association venant en aide aux jeunes victimes d'homophobie, tout en énonçant quelques dysfonctionnements possibles. Si effectivement on peut penser que David Perrotin ne fait qu'énumérer des problèmes qu'il reste à confirmer, la réaction première des dirigeants du Refuge a été de crier au loup, ne voyant dans l'article qu'un tissu de mensonges mis en ordre par un pseudo journaliste ayant recueilli les rancoeurs d'anciens jeunes hébergés par l'association et mis à la porte depuis.

En quelques jours (de jeudi à dimanche) les esprits se sont échauffés. On a ainsi constaté que les partisans de l'un (Le Refuge pour ne pas le citer) pouvaient en devenir injurieux, en parfaite opposition avec les valeurs de tolérance défendues par l'association. D'un autre coté on a pu voir (et comprendre ?) que les reproches faits par les lecteurs de Rue89 semblaient issus d'une possible jalousie entre dirigeants et membres d'associations LGBT agissant contre l'homophobie, chacune à sa façon et dans un domaine différent d'action.

Comme j'ai pu l'écrire et le dire en commentaires sur ces mêmes réseaux sociaux (Facebook et Twitter), l'article de David Perrotin a été publié mercredi soir dernier. Dès le lendemain, Rue89.com a dû faire face à une levée de bouclier (orchestrée par Le Refuge ?) avec une avalanche de critiques sans retenues, injurieuses, voir diffamatoires, distillées par des internautes peu à même pour beaucoup d'appréhender les choses pour en faire un débat construit et honnête. Un fait qui aurait pu être évité si Le Refuge et son président de toujours, Nicolas Noguier, n'avait pas tardé à répondre aux questionnements du journaliste. En effet il a fallu attendre dimanche en soirée pour que l'association mette en ligne un communiqué "Dépassionnons le débat...", à lire ici. Ce délai de réaction (tardive) a permis à tout un chacun de s'exprimer, souvent avec violence, sur le sujet : est-ce que Le Refuge remplit sa mission ? Est-ce que les moyens disponibles et utilisés le sont à bon escient, en respectant la charte de l'association ?

Je me suis permis de juger l'écrit de David Perrotin tout autant que les réactions très vives et sans modération des soutiens au Refuge, expliquant que de mon point de vue la polémique devait cesser au plus vite, rappelant au passage que l'image de l'association risquait d'en prendre un coup si Le Refuge ne faisait rien pour éteindre le feu qui couve, mêm si une question reste sans (réelle) réponse : @LeRefuge vs @Rue89, où est la vérité ?

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15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 19:09

  Traditionnellement mai et juin sont les mois des Marches des Fiertés en France et des Gay Prides ailleurs dans le monde. Si Angers, Caen et Dijon ont accueilli les premières Marches françaises de l'année dès la mi-mai, il ne se passe un week-end depuis sans plusieurs rassemblements en faveur d'une égalité des droits des personnes LGBT, demande récurrente qui n'a pas encore aboutie malgré les promesses et les changements de gouvernements...

 Et avant Marseille, Montpellier et Nice, les Méditerranéennes qui à n'en pas douter feront le plein en période de vacances estivales, il y aura dans 15 jours la plus importante de toutes, la grande soeur, l'ainée, la Marche des Fiertés à Paris qui si la météo est de la partie devrait cette année encore rassemblée plusieurs centaines de milliers de participants et de spectateurs. Sur un nouveau parcours, cette année, qui mènera les manifestants de la Place Edmond Rostand (à coté du Jardin du Luxembourg) à la Place de la République. Tout un symbole.

 Et un slogan non-exhaustif "Nos vies, nos corps, nos familles, plus de droits pour tou-te-s !".

 Un trajet, non pas raccourci, mais déplacé, la traditionnelle première portion Montparnasse Luxembourg étant remplacée par une Marche de Fiertés prolongée au-delà de Bastille vers la République, avec au milieu du parcours, comme toujours, la traversée du Pont de Sully où les participants pourront faire un don pour la Marche. Pensez-y.

 Par avance, à tous, bonne marche. See you there. :-)

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 21:02

En fin de semaine dernière, quelques jours après la clôture des Jeux paralympiques de Sotchi, quelques semaines après la fin des Jeux Olympiques d'hiver 2014, le français Jean-Claude Killy a pris la décision de quitter ses fonctions au sein du Comité International Olympique, estimant qu'il avait fait le tour du sujet, qu'il était temps de laisser la place aux jeunes...

 En exclusivité pour L'Equipe Magazine, l'ancien sportif, multimédaillé aux JO, explique pourquoi il a décidé de passer la main après avoir pendant près de 7 ans supervisé l'organisation des Jeux Olympiques de Sotchi pour le CIO. Ces JO voulus par Vladimir Poutine ont été "les plus beaux jamais organisés" selon J.-Cl. Killy qui est devenu un ami du président russe. Ce dernier l'a d'ailleurs récompensé en lui remettant tout récemment une des plus hautes distinctions de la Fédération de Républiques de Russie. Un honneur qui passe mal auprès de nombreuses personnalités politiques et sportives : accepter une telle distinction est faire fi des méthodes de V. Poutine qui a, depuis l'attribution des Jeux Olympiques à la ville de Sotchi, multiplié les provocations, malmenant l'environnement, se compromettant avec les mafias locales, faisant taire ses opposants (au mieux en les emprisonnant, au pire en les éliminant), multipliant les lois liberticides...

 Sur ce dernier point, Jean-Claude Killy n'y va pas par 4 chemins. Pour lui, Vladimir Poutine "est un homme bien" et avant de regarder ce qu'a fait le Président russe, avant de le critiquer, il faudrait déjà, toujours selon le même Killy, dénoncer ce qui s'est fait (et se fait encore) dans les autres pays : à propos des lois anti-gay (limitant la propagande homosexuelle) le champion français estime que Poutine ne fait pas pire que les autres. Et de nous expliquer que la Russie n'a rien à envier à d'autres régimes démocratiques ou autoritaires qui sanctionnent eux aussi l'homosexualité sous diverses formes jusqu'à la peine de mort. Ce que la Russie ne fait pas. Sauf que J.-Cl. Killy oublie qu'on y agresse, torture, parfois assassine, les homosexuel(le)s sans que les autorités de l'Etat russe ne trouvent à y redire.

 Pour l'ex-skieur, on ne peut reprocher à Vladimir Poutine de faire chez lui ce qui se fait ailleurs. Voilà qui fait mal à entendre. Au mieux nous lui trouverons des circonstances atténuantes à pensant que ses déclarations sont celles d'un homme vieux (70 ans cette année) et fatigué par 7 ans d'allers-retours entre la Suisse et la Russie. Au pire nous mettrons ça sur la sénilité d'un gaulliste qui a vu en son ami Poutine un "homme bien".

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 18:17

J'aurais aimé écrire Un soutien sans condition. Je dirai que j'en suis proche. Rien n'est parfait. Si Le Refuge est aujourd'hui une association reconnue (et pas seulement d'utilité publique) c'est parce que depuis un an maintenant, et plus encore, elle reste la seule à offrir un hébergement d'urgence pour les jeunes LGBT. Ces derniers ayant eu à subir de plein fouet les conséquences de la campagne anti-mariage gay. C'était un fait qui existait déjà mais voilà qu'en 2013 l'association a dû répondre à un surcroît d'appel à l'aide avec un nombre conséquent d'adolescents et de jeunes adultes mis à la porte par leurs parents et cherchant un toit pour ne pas se retrouver à la rue. Une mission de service public.

Logiquement Le Refuge a trouvé sa place dans le combat contre l'homophobie. Au même titre que des dizaines d'autres associations spécialisées ou non dans la lutte contre les discriminations (homo)sexuelles entre autres. Mise en avant par son action elle a obtenu un soutien sans cesse plus grand. De simples anonymes comme de quelques célébrités. Chacun y trouvant son compte. Le Refuge a besoin d'argent et de visibilité. Les appels aux dons sont là avec les rentrées financières qui vont avec. Le soutien moral suit. Et c'est là que les conditions doivent être évoquées. Car peut-on tout accepter de tout le monde ? Voilà ce qui a motivé la rédaction de cet article.

J'ai appris la semaine passée qu'un homme politique aurait une entrevue avec l'équipe du Refuge le 11 février prochain. Vous me direz que cela est une bonne chose que les politiques veuillent s'informer sur le fonctionnement et le travail de telles associations. Et leur apporter un soutien ...médiatisé. Là où le bas blesse, c'est que la personnalité politique en question est Charles Beigbeder, dissident UMP, candidat à la Mairie de Paris, qui s'apprête à faire le grand écart. S'il souhaite aujourd'hui soutenir Le Refuge, il ne faut pas oublier que ces derniers mois il a soutenu les réactionnaires opposés au mariage et à l'adoption pour tous avant d'être de ceux qui ne veulent pas de la PMA et de la GPA, de la loi Famille. Sans parler de la diminution des aides publiques aux acteurs de la vie associative.

Cette rencontre entre le politicien et l'association me paraît bien prématurée. Je n'y vois qu'une envie de Ch. Beigbeder de se refaire une image plus proprette qui conviendrait mieux à une certaine frange potentielle de l'électorat parisien, quand bien même l'homme d'affaires passé à la politique annoncerait là un programme dans lequel Le Refuge pourrait trouver un terreau favorable à son avenir dans la Capitale. Pour moi Le Refuge fait une erreur. On ne transige pas avec un opposant qui d'ici-là n'aura pas fait son mea-culpa, reconnu publiquement ses erreurs...

C'est pour cela que je souhaite mettre mes conditions au soutien que j'apporte moi-même à l'association. Il sera renouvelé si elle-même met des conditions au soutien dont elle peut ou veut bénéficier. On ne peut pas tout accepter au nom d'une cause aussi belle...

NB. Comme je l'ai indiqué sur Twitter j'apporte un soutien moral et financier à l'association de Nicolas Noguier. Et quand je pense que son équipe dirigeante fait une erreur, je le dis.

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26 janvier 2014 7 26 /01 /janvier /2014 19:35

  C'est l'info de la semaine même si elle n'a pas fait l'objet de la Une des grands quotidiens ou hebdomadaires de la presse internationale : plusieurs milliers (on parle de centaines de milliers ?) de places n'ont pas encore trouvé d'acheteurs pour des dizaines d'épreuves des JO de Sotchi qui commencent dans 15 jours. Ce qui embarasse au plus haut point le Comité d'organisation et plus encore le Président Poutine lequel a porté à bout de bras ces Jeux olympiques d'hiver pas comme les autres. En effet, Sotchi sont les JO les plus chers de l'histoire des jeux modernes, 5 fois le budget prévu.

 Le Comité International Olympique avait annoncé la mise en vente d'1,1 millions de tickets d'entrée. Il en resterait à ce jour plus de 300000 (plus d'un tiers) à vendre ce qui là aussi du jamais vu. Pour comparaison en 2010, 97% des billets avaient trouvé preneurs avant que ne débutent les JO de Vancouver.

 Et comme si cela ne suffisait pas, on a appris hier que cette désaffection du public, principalement étranger, serait liée effectivement à la politique liberticide de Vladimir Poutine. Les lois anti-gay qui visent interdire toute "propagnade homosexuelle envers les mineurs" ont fait réagir la communauté internationale alors même les organisateurs des JO de Sotchi rencontraient de grosses difficultés dans l'avancement des travaux.

 Le Président russe a bien essayé de tempérer ses propres propos en soulignant qu'il n'y aurait pas d'arrestation pendant les Jeux en février prochain. Mais dans le même temps certains des députés à l'origine de ces lois s'inquiètent de l'image de la Russie sur la scène internationale et sur le possible et relatif échec des JO. Ils ont demandé à V. Poutine la possibilité de supprimer toute référence à une "sexualité non-naturelle", celle(s) qui pose(nt) problème à cet hyper-Président à la virilité débordante et à l'hétérosexualité aujourd'hui contestée, son récent divorce étant devenu un argument utilisé par quelques-uns de ses opposants (ceux encore en liberté !), notamment une biographe, pour en faire un homosexuel refoulé sinon caché... Vous avez dit pression ?

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 21:15

En 1968 la France avait adopté la classification de l'Organisation Mondiale de la Santé qui incluait l'homosexualité parmi les maladies mentales. En 1981 le nouveau Gouvernement de gauche fait retirer l'homosexualité de la liste française des maladies mentales... Et c'est seulement en 1993 que l'OMS supprime définitivement l'homosexualité de la liste des maladies mentales.

 Ce que le député Mirguet qualifiait en 1960 de "fléau social" ne relève donc plus de la psychiatrie depuis une vingtaine d'années, une génération à peine. Depuis un peu plus de 30 ans chez nous. Et pourtant il existe encore des associations, des religieux et des hommes (et femmes) politiques qui veulent guérir les homosexuel(le)s, à défaut de pouvoir les punir pénalement ou les exécuter comme cela est de règle dans un certain nombre de pays. Encore.

 Aujourd'hui, comme un pied-de-nez à cette histoire, tout en déclarant "Je crois qu'il est de notre devoir de nous excuser" [pour le tort fait aux homosexuel(le)s, NDLR], le président de l'Association mondiale de psychiatrie, nouvellement élu, Dinesh Bhugra a fait son coming-out, professionnellement et publiquement parlant puisque coté vie privée le citoyen britannique d'origine indienne file le parfait amour avec son compagnon de 30 ans.

 Cette sortie du placard plutôt inattendue n'a d'autre but que de forcer son organisation à prendre une position définitive sur l'homosexualité toujours considérée par trop d'Etats et de personnes de part le monde comme une maladie. Et à l'amener à reconnaître ses erreurs passées dans le traitement psychiatrique d'un mal que ne l'était pas. Une erreur majeure stigmatisante qui a parfois amené le patient au suicide. En espérant qu'avec le coming-out de Dinesh Bhugra, les homosexuel(le)s ne soient plus envoyé(e)s chez le psychiatre. Tout au plus chez le psy(chologue) pour ceux qui en ressentiraient le besoin.

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 00:05

  Ce 12 octobre 2013 est la date anniversaire du décès de Matthew Shepard, mort à Fort Collins (Colorado) six jours après son agression à Laramie. Généralement on célèbre un anniversaire mais personne n'a le coeur à fêter quoi que ce soit quand il s'agit de se rappeler le souvenir d'une personne décédée. Plus encore quinze ans après la disparition d'un jeune homme assassiné en raison de son orientation sexuelle par deux jeunes gens du même âge.

 Si ses parents préfèrent, eux, célèbrer le souvenir de Matthew le 1er décembre, date anniversaire de sa naissance, on ne peut oublier ce funeste 12 octobre 1998 lorsque l'étudiant américain a succombé à ses blessures après une longue agonie de 18 heures sur les lieux du crime puis 5 jours d'hospitalisation en soins intensifs...

 Le meurtre de M. Shepard, sans doute le crime homophobe le plus médiatisé de ces dernières années, d'un point de vue international (rappelons celui Bruno Wiel en France), l'agression de Matthew, donc, est à l'origine d'un mouvement de fond, d'une prise de conscience, aux Etats-Unis, puis ailleurs dans le monde, qu'il devenait indispensable de pénaliser l'homophobie au même titre que les autres discriminations raciales ou religieuses. Grâce à des associations comme la Fondation Matthew Shepard, qui a mené un rude combat pour convaincre politiciens, Police et Justice là-bas, aujourd'hui aux USA, en France et dans bien d'autres pays, de tels faits ignobles, horribles, barbares, ne restent plus impunis.

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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 20:30

Faut-il boycotter les Jeux Olympiques d'hiver 2014 organisés à Sotchi ? Un mois après le vote d'une loi liberticide par la Douma russe sur ordre de Vladimir Poutine répondant aux revendications anti-gay des groupes nationalistes proches du Président, la question est enfin posée par les politiques occidentaux sous la pression, non seulement des associations homosexuelles, mais par celle de divers électrons libres issus des mondes de la culture, du sport, de leaders d'opinion, tous inquiets de la situation sans précédent en Europe où un gouvernement a décidé de criminaliser toute propagande pro-homosexuelle au prétexte qu'elle pourrait choquer les mineur(e)s.

 L'ouverture ce week-end des Championnats du monde d'athlétisme à Moscou était l'occasion rêvée de provoquer une réaction des instances internationales du sport. Malheureusement au cours d'une conférence de presse, et en présence de Vladimir Poutine, le président de l'IAAF, Lamine Diack n'a rien trouvé de mieux que de dire qu'il n'y avait aucun problème en Russie. "No problem whatsoever!". Ce n'est donc pas pendant ces 10 jours de visibilité mondiale que le débat avancera à Moscou.

 Et pourtant d'ici quelques mois, et elle sera effective lors des JO de Sotchi, la loi enverra en prison (le tout accompagné de fortes amendes) toute personne qui fera du prosélytisme en faveur de l'homosexualité, que ce soit par la parole ou par le geste. Ces sanctions concernant tout le monde sans exception, citoyen(ne)s russes ou étrangers en séjour en Russie.

 Doit-on rester sans rien dire ? Comment peut-on accepter qu'un pays accueillant des évènements mondiaux majeurs puisse restreindre ainsi la liberté de penser, de s'exprimer, de circuler de tout un chacun au prétexte que ce dernier est homosexuel et fier de l'être ? Il est certain que la menace d'un boycott des prochains Jeux Olympiques peut faire réfléchir Vladimir Poutine, son gouvernement et ses soutiens. Encore faut-il que le CIO et ses représentants se saisissent du problème, ce qui ne semble pas être le cas. Bien sûr l'organisation sportive internationale a demandé des explications au Président russe mais la réponse tarde à venir. Arrivera-t-elle avant février 2014 ? Difficile de le croire puisque le CIO n'y a pas mis d'ultimatum. Alors, boycott ou pas ?

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14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 22:28

  Certains y voient déjà un signe de progrès. N'exagérons pas. Pourtant on veut y croire. Le prochain bal de fin d'année risque d'être animé. Pour la première fois dans l'histoire du lycée de Carmel, New York, un couple d'adolescents homosexuels a été élu Couple le plus mignon de l'année. Des teenagers comme tant d'autres (ou presque) qui n'ont nullement recherché une quelconque notoriété. C'était sans compter sur Chelsea Blaney, une de leurs amies, qui a mis une photo de Brad Taylor et Dylan Meehan sur son mur Tumblr pour annoncer la victoire du jeune couple (ils sont ensemble depuis un an). Une image "liked" et rebloguée plus de 100000 fois.

"2 de mes meilleurs amis ont gagné le titre de couple le plus mignon de notre classe de terminale. Sans même parler de leur victoire, c'est la première fois dans l'histoire de notre lycée qu'un couple gay était autorisé à participer à ce concours. Je suis fier d'eux, et de mon école." a précisé Chelsea.

De leur coté Brad et Dylan se sont dits surpris de l'attention portée sur eux. Et en même temps heureux que leur situation puisse être une source d'inspiration pour d'autres. Et de se réjouir aussi qu'après tant actes homophobes, de discriminations, survenus ces derniers mois aux USA, une histoire, la leur, finisse dans la joie, la bonne humeur...

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